Album Jeanne Mas en concert
LA BÊTE LIBRE
Regardez ça, elle plane sur un lit de poussière
Peau déchirée pur des rots qui crochent sans pitié
Regardez ça, un thalamus qui se déchaîne
Cogne et Recogne à pleins gaz sur ses yeux fixés
Tirez sur la bête libre
Tirez à volonté
Regardez ça, elle rampe sur moi en marche arrière
La revoilà cette lumière blanche qui nous poursuit
Regardez ça, y a des fourmis qui font la fête
S'enfilent entre nos jambes nos veines et sa folie
Tirez sur la bête libre
Tirez à volonté
Dorothée s'endort dons l'infini
Elle oublie sa peur dans un sourire
Regardez ça, ses moins me parlent et se promènent
Sur un corps nu griffé de honte et de plaisir
Regardez ça, la mouche qui s'endort sur ses lèvres
Pleine de passion elle vit au ralenti
Tirez sur la bête libre
Tirez à volonté
Regardez ça, l'étoile enceinte éclate de fièvre
Dans ses entrailles, je reconnais l'enfant qui rit
Regardez ça, mon cerveau plonge sans oxygène
Comme un fœtus sauvage destiné à l'ennui
Tirez sur la bête libre
Tirez à volonté
LUCIE
Lucie
Oh! Lucie
Qu'est-ce qui t'amène
Lucie
Oh! Lucie
Qu'est-ce qui te gêne
Toute la ville t'appartient
Toute la ville est dans tes mains
Le reste n'est qu'histoire ancienne
Tu connaissais déjà la fin
Lucie
Oh! Lucie
C'est pas la peine
Lucie
Oh! Lucie
Que tu reviennes
Tous les hommes te regardent
Ils te salissent de leurs yeux
C'est la manière dont tu te fardes
Qui ressemble à un aveu
Toute la ville t'appartient
Tu le sais bien
La ville t'appartient
Tu le sais bien
Lucie
Lucie
Oh! Lucie
Faut qu'tu comprennes
Lucie
Oh! Lucie
Que tu te souviennes
Ces nuits entières devant la glace
Où je m'inventais de la dignité
Dans le lit, j'embrassais ta place
Et tu voudrais recommencer
Aujourd'hui la vie que je mène
A guéri ma fragilité
C'est la seule chose qui te gêne
Et que tu voudrais m'enlever
Pourtant la ville t'appartient
Tu le sais bien
La ville t'appartient
Tu le sais bien
Lucie...
Paroles et musique : Daniel Balavoine
Editions musicales Paledi.
LA BÊTE LIBRE
Regardez ça, elle plane sur un lit de poussière
Peau déchirée pur des rots qui crochent sans pitié
Regardez ça, un thalamus qui se déchaîne
Cogne et Recogne à pleins gaz sur ses yeux fixés
Tirez sur la bête libre
Tirez à volonté
Regardez ça, elle rampe sur moi en marche arrière
La revoilà cette lumière blanche qui nous poursuit
Regardez ça, y a des fourmis qui font la fête
S'enfilent entre nos jambes nos veines et sa folie
Tirez sur la bête libre
Tirez à volonté
Dorothée s'endort dons l'infini
Elle oublie sa peur dans un sourire
Regardez ça, ses moins me parlent et se promènent
Sur un corps nu griffé de honte et de plaisir
Regardez ça, la mouche qui s'endort sur ses lèvres
Pleine de passion elle vit au ralenti
Tirez sur la bête libre
Tirez à volonté
Regardez ça, l'étoile enceinte éclate de fièvre
Dans ses entrailles, je reconnais l'enfant qui rit
Regardez ça, mon cerveau plonge sans oxygène
Comme un fœtus sauvage destiné à l'ennui
Tirez sur la bête libre
Tirez à volonté
LUCIE
Lucie
Oh! Lucie
Qu'est-ce qui t'amène
Lucie
Oh! Lucie
Qu'est-ce qui te gêne
Toute la ville t'appartient
Toute la ville est dans tes mains
Le reste n'est qu'histoire ancienne
Tu connaissais déjà la fin
Lucie
Oh! Lucie
C'est pas la peine
Lucie
Oh! Lucie
Que tu reviennes
Tous les hommes te regardent
Ils te salissent de leurs yeux
C'est la manière dont tu te fardes
Qui ressemble à un aveu
Toute la ville t'appartient
Tu le sais bien
La ville t'appartient
Tu le sais bien
Lucie
Lucie
Oh! Lucie
Faut qu'tu comprennes
Lucie
Oh! Lucie
Que tu te souviennes
Ces nuits entières devant la glace
Où je m'inventais de la dignité
Dans le lit, j'embrassais ta place
Et tu voudrais recommencer
Aujourd'hui la vie que je mène
A guéri ma fragilité
C'est la seule chose qui te gêne
Et que tu voudrais m'enlever
Pourtant la ville t'appartient
Tu le sais bien
La ville t'appartient
Tu le sais bien
Lucie...
Paroles et musique : Daniel Balavoine
Editions musicales Paledi.