Que l'amour est bizarre
Dieu que l'amour est bizarre
Hier, je te croise sans te voir
Hier, je te parle sans savoir
Que je t'aime déjà
Dieu que l'amour est bizarre
Toi, tu vivais dans le noir
Moi, je t'écoutais sans voir
Que je t'aimais déjà
Mais comment te jurer quoi
Sans comprendre comment ni pourquoi?
Dieu que l'amour est bizarre
Vois, je l'oublie et un soir
Vois, comme je perds la mémoire
Pour ne penser qu'à toi
Dieu que l'amour est bizarre
Hier, juste un regard
Hier, pour trois mots dérisoires
J'aurais menti cent fois
Mais comment te jurer quoi
Sans comprendre comment ni pourquoi?
Dieu que l'amour est bizarre
Vois comment il vient, il repart
Un soir, au caprice du hasard
Que l'amour est bizarre.
Paroliers : MICHEL BERGER
Dieu que l'amour est bizarre
Hier, je te croise sans te voir
Hier, je te parle sans savoir
Que je t'aime déjà
Dieu que l'amour est bizarre
Toi, tu vivais dans le noir
Moi, je t'écoutais sans voir
Que je t'aimais déjà
Mais comment te jurer quoi
Sans comprendre comment ni pourquoi?
Dieu que l'amour est bizarre
Vois, je l'oublie et un soir
Vois, comme je perds la mémoire
Pour ne penser qu'à toi
Dieu que l'amour est bizarre
Hier, juste un regard
Hier, pour trois mots dérisoires
J'aurais menti cent fois
Mais comment te jurer quoi
Sans comprendre comment ni pourquoi?
Dieu que l'amour est bizarre
Vois comment il vient, il repart
Un soir, au caprice du hasard
Que l'amour est bizarre.
Paroliers : MICHEL BERGER
Une belle histoire
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Ils avaient le ciel à portée de main
Un cadeau de la providence
Alors pourquoi penser au lendemain
Ils se sont cachés dans un grand champ de blé
Se laissant porter par les courants
Se sont racontés leur vies qui commençaient
Ils n'étaient encore que des enfants, des enfants
Qui s'étaient trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Qui cueillirent le ciel au creux de leurs mains
Comme on cueille la providence
Refusant de penser au lendemain
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont quittés au bord du matin
Sur l'autoroute des vacances
C'était fini le jour de chance
Ils reprirent alors chacun leur chemin
Saluèrent la providence en se faisant un signe de la main
Il rentra chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle est descendue là-bas dans le midi
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Paroliers : Pierre Delanoe, Michel fugain
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Ils avaient le ciel à portée de main
Un cadeau de la providence
Alors pourquoi penser au lendemain
Ils se sont cachés dans un grand champ de blé
Se laissant porter par les courants
Se sont racontés leur vies qui commençaient
Ils n'étaient encore que des enfants, des enfants
Qui s'étaient trouvés au bord du chemin
Sur l'autoroute des vacances
C'était sans doute un jour de chance
Qui cueillirent le ciel au creux de leurs mains
Comme on cueille la providence
Refusant de penser au lendemain
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Il rentrait chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle descendait dans le midi, le midi
Ils se sont quittés au bord du matin
Sur l'autoroute des vacances
C'était fini le jour de chance
Ils reprirent alors chacun leur chemin
Saluèrent la providence en se faisant un signe de la main
Il rentra chez lui, là-haut vers le brouillard
Elle est descendue là-bas dans le midi
C'est un beau roman, c'est une belle histoire
C'est une romance d'aujourd'hui
Paroliers : Pierre Delanoe, Michel fugain
Viens
Des mots sussurés tout bas, tremblant au son de ta voix.
Je cache encore le désir dans mes longs soupirs.
Un parfum mêlé d'amour s'évade de ton corps trop lourd
Perdu dans ce va-et-vient, perdu entre tes reins.
Alors, je m'abandonne sous tes caresses folles
Qui me crient "Viens, viens, viens".
Tes lèvres cherchent encore, avec tendresse, encore
Et tu reviens, viens, viens.
Entraîne-moi dans ta violence et dans ta fièvre.
Continue à m'envoûter de tes "je t'aime".
Glisse au fond de moi, séduis-moi dans la puissance de tes bras.
Encore plus fort et emporte-moi dans le voyage de ton silence
Égarée par le visage de ta présence.
Viens, délivre-toi, rejoins-moi dans l'ivresse qui me tient
Et me transporte toujours plus loin, loin, loin.
Un souffle de vent léger sur mes cheveux emmêlés
Le retour de ton sourire, comme un souvenir
Mes jambes trouvent leur chemin entre les tiennes, sans fin
Et tu reviens, viens, viens.
Entraîne-moi dans ta violence et dans ta fièvre.
Continue à m'envoûter de tes "je t'aime".
Glisse au fond de moi, séduis-moi dans la puissance de tes bras.
Encore plus fort et emporte-moi dans le voyage de ton silence
Égarée par le visage de ta présence.
Viens, délivre-toi, rejoins-moi dans l'ivresse qui me tient
Et me transporte, entraîne-moi dans ta violence et dans ta fièvre.
Continue à m'envoûter de tes "je t'aime".
Glisse au fond de moi, séduis-moi dans la puissance de tes bras.
Encore plus fort et emporte-moi dans le voyage de ton silence
Égarée par le visage de ta présence.
Viens, délivre-toi, rejoins-moi dans l'ivresse qui me tient
Et me transporte toujours plus loin.
Paroliers : Roberto Zaneli / Romano Musumarra / Jeanne Mas / Piero Calabrese
Des mots sussurés tout bas, tremblant au son de ta voix.
Je cache encore le désir dans mes longs soupirs.
Un parfum mêlé d'amour s'évade de ton corps trop lourd
Perdu dans ce va-et-vient, perdu entre tes reins.
Alors, je m'abandonne sous tes caresses folles
Qui me crient "Viens, viens, viens".
Tes lèvres cherchent encore, avec tendresse, encore
Et tu reviens, viens, viens.
Entraîne-moi dans ta violence et dans ta fièvre.
Continue à m'envoûter de tes "je t'aime".
Glisse au fond de moi, séduis-moi dans la puissance de tes bras.
Encore plus fort et emporte-moi dans le voyage de ton silence
Égarée par le visage de ta présence.
Viens, délivre-toi, rejoins-moi dans l'ivresse qui me tient
Et me transporte toujours plus loin, loin, loin.
Un souffle de vent léger sur mes cheveux emmêlés
Le retour de ton sourire, comme un souvenir
Mes jambes trouvent leur chemin entre les tiennes, sans fin
Et tu reviens, viens, viens.
Entraîne-moi dans ta violence et dans ta fièvre.
Continue à m'envoûter de tes "je t'aime".
Glisse au fond de moi, séduis-moi dans la puissance de tes bras.
Encore plus fort et emporte-moi dans le voyage de ton silence
Égarée par le visage de ta présence.
Viens, délivre-toi, rejoins-moi dans l'ivresse qui me tient
Et me transporte, entraîne-moi dans ta violence et dans ta fièvre.
Continue à m'envoûter de tes "je t'aime".
Glisse au fond de moi, séduis-moi dans la puissance de tes bras.
Encore plus fort et emporte-moi dans le voyage de ton silence
Égarée par le visage de ta présence.
Viens, délivre-toi, rejoins-moi dans l'ivresse qui me tient
Et me transporte toujours plus loin.
Paroliers : Roberto Zaneli / Romano Musumarra / Jeanne Mas / Piero Calabrese
Dieu que l'amour est triste
Baisers d'amoureux, baisers langoureux
Que le monde est malheureux
J'avais rêvé si fort
D'un autre décor pour ma mort
J'ai voulu t'emmener
Pour une lune de miel
Au San Salvador
Et te faire l'amour
En parlant liberté
Au milieu des morts
En comptant les corps
Mais Dieu que l'amour est triste
Oh que l'amour est triste
Depuis que le monde existe
Je dis que l'amour est triste
Mais Dieu que l'amour est triste
Oh que l'amour est triste
Oh oh...
Ne jamais miser en fermant les yeux
Tous les jeux sont dangereux
Quand le rêve s'endort
Il n'y a plus de conquistador
On n'a jamais raison
De vouloir parler trop haut
Surtout quand on a tort
Ne pas dire que l'amour
Est ce qu'il y a de plus fort
Car la vie bouge encore
Quand un amour est mort
Mais Dieu que l'amour est triste
Oh que l'amour est triste
Depuis que le monde existe
Je dis que l'amour est triste
Mais Dieu que l'amour est triste
Oh que l'amour est triste
Oh oh...
Et quand le taureau brisé par l'effort
A compris quel est son sort
Pour cesser de souffrir
Il va donner sa vie au matador
Dans ses yeux on voit plus
De pardon pour le tueur
Que pour les picadors
Celui qui se fait gloire
De supporter le mal
Est beaucoup moins fort
Que celui qui s'en sort
Mais Dieu que l'amour est triste
Oh que l'amour est triste
Depuis que le monde existe
Je dis que l'amour est triste
Mais Dieu que l'amour est triste
Oh que l'amour est triste
Oh oh...
Paroliers : DANIEL BALAVOINE
Baisers d'amoureux, baisers langoureux
Que le monde est malheureux
J'avais rêvé si fort
D'un autre décor pour ma mort
J'ai voulu t'emmener
Pour une lune de miel
Au San Salvador
Et te faire l'amour
En parlant liberté
Au milieu des morts
En comptant les corps
Mais Dieu que l'amour est triste
Oh que l'amour est triste
Depuis que le monde existe
Je dis que l'amour est triste
Mais Dieu que l'amour est triste
Oh que l'amour est triste
Oh oh...
Ne jamais miser en fermant les yeux
Tous les jeux sont dangereux
Quand le rêve s'endort
Il n'y a plus de conquistador
On n'a jamais raison
De vouloir parler trop haut
Surtout quand on a tort
Ne pas dire que l'amour
Est ce qu'il y a de plus fort
Car la vie bouge encore
Quand un amour est mort
Mais Dieu que l'amour est triste
Oh que l'amour est triste
Depuis que le monde existe
Je dis que l'amour est triste
Mais Dieu que l'amour est triste
Oh que l'amour est triste
Oh oh...
Et quand le taureau brisé par l'effort
A compris quel est son sort
Pour cesser de souffrir
Il va donner sa vie au matador
Dans ses yeux on voit plus
De pardon pour le tueur
Que pour les picadors
Celui qui se fait gloire
De supporter le mal
Est beaucoup moins fort
Que celui qui s'en sort
Mais Dieu que l'amour est triste
Oh que l'amour est triste
Depuis que le monde existe
Je dis que l'amour est triste
Mais Dieu que l'amour est triste
Oh que l'amour est triste
Oh oh...
Paroliers : DANIEL BALAVOINE
Pensiero Stupendo
E tu e noi e lei fra noi
Vorrei non so che lei o no
Le mani le sue
Pensiero stupendo
Nace un poco strisciando
Si potrebbe trattare di bisogno d'amore
Meglio non dire
E tu e noi e lei fra noi
Vorrei vorrei
E lei adesso sa che vorrei
Le mani le sue
O prima o poi
Poteva accadere sai
Si può scivolare se così si piò dire
Questioni du cuore
Pensiero stupendo
Nasce un poco strisciando
Si potrebbe trattare di bisogno d'amore
Meglio non dire
E tu e noi e lei fra noi
Vorrei vorrei
E lei adesso sa che vorrei
Le mani le sue
E poi un'altra volta noi due
Vorrei per amore o per ridere
Dipende da me
E tu ancora e noi ancora
E lei un'altra volta fra noi
Le mani questa volta sei tu e lei
E lei a poco a poco di più di più
Vicini per questioni di cuore
Se cosi si piò dire direi
E tu ancora e noi ancora
E lei un'altra volta tra noi
Fra noi fra noi
Pensiero stupendo
Nasce un poco strisciando
Si potrebbe trattare di bisogno d'amore
Meglio non dire
O prima o poi
Poteva accadere sai...
Paroliers : Ivano Alberto Fossati / Oscar Prudente / Patty Pravo
E tu e noi e lei fra noi
Vorrei non so che lei o no
Le mani le sue
Pensiero stupendo
Nace un poco strisciando
Si potrebbe trattare di bisogno d'amore
Meglio non dire
E tu e noi e lei fra noi
Vorrei vorrei
E lei adesso sa che vorrei
Le mani le sue
O prima o poi
Poteva accadere sai
Si può scivolare se così si piò dire
Questioni du cuore
Pensiero stupendo
Nasce un poco strisciando
Si potrebbe trattare di bisogno d'amore
Meglio non dire
E tu e noi e lei fra noi
Vorrei vorrei
E lei adesso sa che vorrei
Le mani le sue
E poi un'altra volta noi due
Vorrei per amore o per ridere
Dipende da me
E tu ancora e noi ancora
E lei un'altra volta fra noi
Le mani questa volta sei tu e lei
E lei a poco a poco di più di più
Vicini per questioni di cuore
Se cosi si piò dire direi
E tu ancora e noi ancora
E lei un'altra volta tra noi
Fra noi fra noi
Pensiero stupendo
Nasce un poco strisciando
Si potrebbe trattare di bisogno d'amore
Meglio non dire
O prima o poi
Poteva accadere sai...
Paroliers : Ivano Alberto Fossati / Oscar Prudente / Patty Pravo
Quand t'es dans le désert
Moi je traîne dans le désert depuis plus de vingt-huit jours
Et déjà quelques mirages me disent de faire demi-tour
La fée des neiges me suit tapant sur son tambour
Les fantômes du syndicat des marchands de certitudes
Se sont glissés jusqu'à ma dune, reprochant mon attitude
C'est pas très populaire le goût d'la solitude
Quand t'es dans le désert
Depuis trop longtemps
Tu t'demandes à qui ça sert
Toutes les règles un peu truquées
Du jeu qu'on veut t'faire jouer
Les yeux bandés
Tous les rapaces du pouvoir menés par un gros clown sinistre
Plongent vers moi sur la musique d'un piètre accordéoniste,
J'crois pas qu'ils viennent me parler des joies d'la vie d'artiste
D'l'autre côté, voilà Caïn toujours aussi lunatique
Son œil est rempli de sable et sa bouche pleine de verdicts
Il trône dans un cimetière de vieilles pelles mécaniques
Les gens disent que les poètes finissent tous trafiquants d'armes
On est cinquante millions d'poètes, c'est ça qui doit faire notre charme
Sur une lune de Saturne mon perroquet sonne l'alarme
C'est drôle mais tout le monde s'en fout
Vendredi tombant d'nulle part, y a Robinson solitaire
Qui m'a dit: "Je trouve plus mon île, vous n'auriez pas vu la mer?"
Va falloir que je lui parle du thermonucléaire
Hier un homme est v'nu vers moi d'une démarche un peu traînante
Il m'a dit: "T'as t'nu combien d'jours?" J'ai répondu: "Bientôt trente."
Je m'souviens qu'il espérait tenir jusqu'à quarante
Quand j'ai d'mandé son message, il m'a dit d'un air tranquille:
"Les politiciens finiront tous un jour au fond d'un asile
J'ai compris que j'pourrais bientôt regagner la ville."
Paroliers : Jean-Patrick Capdevielle
Moi je traîne dans le désert depuis plus de vingt-huit jours
Et déjà quelques mirages me disent de faire demi-tour
La fée des neiges me suit tapant sur son tambour
Les fantômes du syndicat des marchands de certitudes
Se sont glissés jusqu'à ma dune, reprochant mon attitude
C'est pas très populaire le goût d'la solitude
Quand t'es dans le désert
Depuis trop longtemps
Tu t'demandes à qui ça sert
Toutes les règles un peu truquées
Du jeu qu'on veut t'faire jouer
Les yeux bandés
Tous les rapaces du pouvoir menés par un gros clown sinistre
Plongent vers moi sur la musique d'un piètre accordéoniste,
J'crois pas qu'ils viennent me parler des joies d'la vie d'artiste
D'l'autre côté, voilà Caïn toujours aussi lunatique
Son œil est rempli de sable et sa bouche pleine de verdicts
Il trône dans un cimetière de vieilles pelles mécaniques
Les gens disent que les poètes finissent tous trafiquants d'armes
On est cinquante millions d'poètes, c'est ça qui doit faire notre charme
Sur une lune de Saturne mon perroquet sonne l'alarme
C'est drôle mais tout le monde s'en fout
Vendredi tombant d'nulle part, y a Robinson solitaire
Qui m'a dit: "Je trouve plus mon île, vous n'auriez pas vu la mer?"
Va falloir que je lui parle du thermonucléaire
Hier un homme est v'nu vers moi d'une démarche un peu traînante
Il m'a dit: "T'as t'nu combien d'jours?" J'ai répondu: "Bientôt trente."
Je m'souviens qu'il espérait tenir jusqu'à quarante
Quand j'ai d'mandé son message, il m'a dit d'un air tranquille:
"Les politiciens finiront tous un jour au fond d'un asile
J'ai compris que j'pourrais bientôt regagner la ville."
Paroliers : Jean-Patrick Capdevielle
Goodbye je reviendrai
Il ne faut pas pleurer, je pars
mais je reviendrai
il ne faut pas pleurer, goodbye,
bye, je reviendrai
je songe, songe à la douceur
d'aller en chevaux-vapeur
d'aller au bout de la terre
d'aller bien plus vite que la lumière
Il ne faut pas pleurer, je pars
mais je reviendrai
il ne faut pas pleurer, goodbye,
bye, je reviendrai
j'irai dans ma boîte en fer
plus vite que la lumière
j'irai au bout de la terre
et j'irai jusque dans la ionosphère
déjà au fond de mon coeur
j'en vois de toutes les couleurs
écoute, au fond de mon coeur,
entends les battements de mon moteur
Il ne faut pas pleurer, je pars
mais je reviendrai
il ne faut pas pleurer, goodbye,
bye, je reviendrai
mais songe, songe à la douceur
d'aller en chevaux-vapeur
d'aller au bout de la terre
d'aller bien plus vite que la lumière
j'irai dans ma boîte en fer
plus vite que la lumière
j'irai au bout de la terre
et j'irai jusque dans la ionosphère
mais songe, songe à la douceur
d'aller en chevaux-vapeur
aller après l'horizon
à des années-lumière de ma maison
Il ne faut pas pleurer, je pars
mais je reviendrai
Paroliers : CHRISTOPHE
Il ne faut pas pleurer, je pars
mais je reviendrai
il ne faut pas pleurer, goodbye,
bye, je reviendrai
je songe, songe à la douceur
d'aller en chevaux-vapeur
d'aller au bout de la terre
d'aller bien plus vite que la lumière
Il ne faut pas pleurer, je pars
mais je reviendrai
il ne faut pas pleurer, goodbye,
bye, je reviendrai
j'irai dans ma boîte en fer
plus vite que la lumière
j'irai au bout de la terre
et j'irai jusque dans la ionosphère
déjà au fond de mon coeur
j'en vois de toutes les couleurs
écoute, au fond de mon coeur,
entends les battements de mon moteur
Il ne faut pas pleurer, je pars
mais je reviendrai
il ne faut pas pleurer, goodbye,
bye, je reviendrai
mais songe, songe à la douceur
d'aller en chevaux-vapeur
d'aller au bout de la terre
d'aller bien plus vite que la lumière
j'irai dans ma boîte en fer
plus vite que la lumière
j'irai au bout de la terre
et j'irai jusque dans la ionosphère
mais songe, songe à la douceur
d'aller en chevaux-vapeur
aller après l'horizon
à des années-lumière de ma maison
Il ne faut pas pleurer, je pars
mais je reviendrai
Paroliers : CHRISTOPHE
Frappe avec ta tête
Sous la torture
Derrière les murs
Les yeux remplis d'effroi
L'homme aux vœux purs
Souffre et endure
Les coups sourds de la loi
Noyés par les bulles rouges
Ses mots muets
S'élèvent et s'écrasent sur la paroi
L'écrivain plie mais ne rompt pas
Ressent une étrange douleur dans les doigts
Délire en balbutiant qui vivra vaincra
Dans la cellule du poète
Quand le geôlier vient près de lui
Quand plus personne ne s'inquiète
L'homme que l'on croyait endormi
Frappe avec sa tête
A court d'idées
Ils t'ont coupé
Et ta langue et les doigts
Pour t'empêcher
De t'exprimer
Mais ils ne savent pas
Qu'on ne se bat pas
Contre les hommes
Qui peuvent tout surtout pour ce qu'ils croient
Et l'homme infirme retrouve sa voix
Défie le monde en descendant de sa croix
Et sort la liberté de l'anonymat
Dans la cellule du poète
Quand le geôlier vient près de lui
Quand plus personne ne s'inquiète
L'homme que l'on croyait endormi
Frappe avec sa tête
Paroliers : Daniel Balavoine
Sous la torture
Derrière les murs
Les yeux remplis d'effroi
L'homme aux vœux purs
Souffre et endure
Les coups sourds de la loi
Noyés par les bulles rouges
Ses mots muets
S'élèvent et s'écrasent sur la paroi
L'écrivain plie mais ne rompt pas
Ressent une étrange douleur dans les doigts
Délire en balbutiant qui vivra vaincra
Dans la cellule du poète
Quand le geôlier vient près de lui
Quand plus personne ne s'inquiète
L'homme que l'on croyait endormi
Frappe avec sa tête
A court d'idées
Ils t'ont coupé
Et ta langue et les doigts
Pour t'empêcher
De t'exprimer
Mais ils ne savent pas
Qu'on ne se bat pas
Contre les hommes
Qui peuvent tout surtout pour ce qu'ils croient
Et l'homme infirme retrouve sa voix
Défie le monde en descendant de sa croix
Et sort la liberté de l'anonymat
Dans la cellule du poète
Quand le geôlier vient près de lui
Quand plus personne ne s'inquiète
L'homme que l'on croyait endormi
Frappe avec sa tête
Paroliers : Daniel Balavoine
C'est pas normal
Dans les rues vides de Manhattan
J’entends la nuit, j’entends
J’entends des larmes
Dans ce brouillard
Mes mains se joignent
J’ai le cœur qui fait tam-tam
Non, c’est pas normal
Comme un éclair
Moi j’accélère
Qui sont ces fous
Qui provoquent ma colère?
Pas le temps de penser
Pas le temps de flâner
Dans cette galère
La bête traquée ne trouve plus sa tanière
Hé! Pourquoi j’ai mal?
Ma tête a si mal
Pourquoi j’ai mal?
Non, non, non c’est pas normal
Comme dans les grands films
Je rêve de plages en satin
Au fond d’une île
Comme dans les grands films
Je veux ralentir le temps
Ne plus penser autant
Oh, j’ai mal
Dans les rues vides au creux de Manhattan
Des hommes cherchaient l’oubli derrière des larmes
Dans ce bazar, mes mains plongent dans l’espace
Qu’est-ce que je fous dans ce trou de ce faux mélodrame?
Hé! Pourquoi j’ai mal?
Ma tête a si mal
Pourquoi j’ai mal?
Non, non, non c’est pas normal
Comme dans les grands films
Je rêve de plages en satin
Au fond d’une île
Comme dans les grands films
Je veux ralentir le temps
Ne plus penser autant
Oh, j’ai mal
Comme dans les grands films
Je rêve de plages en satin
Au fond d’une île
Comme dans les grands films
Je veux ralentir le temps
Ne plus penser autant
Oh, j’ai mal
Comme dans les grands films
Je rêve de plages en satin
Au fond d’une île
Comme dans les grands films
Je veux ralentir le temps
Ne plus penser autant
Oh, j’ai mal
Dans les rues vides de Manhattan
Non, non, non c’est pas normal
Dans les rues vides de Manhattan
Non, non, non c’est pas normal
Dans les rues vides de Manhattan
Non, non, non c’est pas normal
Dans les rues vides de Manhattan
Non, non, non c’est pas normal
Dans les rues vides de Manhattan
Non, non, non c’est pas normal
Paroles C'est Pas Normal par Jeanne Mas
Dans les rues vides de Manhattan
J’entends la nuit, j’entends
J’entends des larmes
Dans ce brouillard
Mes mains se joignent
J’ai le cœur qui fait tam-tam
Non, c’est pas normal
Comme un éclair
Moi j’accélère
Qui sont ces fous
Qui provoquent ma colère?
Pas le temps de penser
Pas le temps de flâner
Dans cette galère
La bête traquée ne trouve plus sa tanière
Hé! Pourquoi j’ai mal?
Ma tête a si mal
Pourquoi j’ai mal?
Non, non, non c’est pas normal
Comme dans les grands films
Je rêve de plages en satin
Au fond d’une île
Comme dans les grands films
Je veux ralentir le temps
Ne plus penser autant
Oh, j’ai mal
Dans les rues vides au creux de Manhattan
Des hommes cherchaient l’oubli derrière des larmes
Dans ce bazar, mes mains plongent dans l’espace
Qu’est-ce que je fous dans ce trou de ce faux mélodrame?
Hé! Pourquoi j’ai mal?
Ma tête a si mal
Pourquoi j’ai mal?
Non, non, non c’est pas normal
Comme dans les grands films
Je rêve de plages en satin
Au fond d’une île
Comme dans les grands films
Je veux ralentir le temps
Ne plus penser autant
Oh, j’ai mal
Comme dans les grands films
Je rêve de plages en satin
Au fond d’une île
Comme dans les grands films
Je veux ralentir le temps
Ne plus penser autant
Oh, j’ai mal
Comme dans les grands films
Je rêve de plages en satin
Au fond d’une île
Comme dans les grands films
Je veux ralentir le temps
Ne plus penser autant
Oh, j’ai mal
Dans les rues vides de Manhattan
Non, non, non c’est pas normal
Dans les rues vides de Manhattan
Non, non, non c’est pas normal
Dans les rues vides de Manhattan
Non, non, non c’est pas normal
Dans les rues vides de Manhattan
Non, non, non c’est pas normal
Dans les rues vides de Manhattan
Non, non, non c’est pas normal
Paroles C'est Pas Normal par Jeanne Mas
C'est évident
En parcourant c'est bout d'histoire
Dans c'est Réminiscence
Peut bavarde
Je n'est plus retrouver les traces
Ranger dans le silence d'un départ
Seul évident
J’aurai du changer de voyage et puis tout simplement
De c'est garlace
Reposer mes victoires
Pour quelque mot qui soulage plus
Dans ce mirage que je croyais perdue
La solitude d'un mais sincère
Me supplie de faire marche arrière
C'est évident
J’aurai du changer de voyage et puis tout simplement
De c'est garlace
oh c'est évident
On ma dépouiller de courage et puis tout simplement
Brisée de larmes
J'aurai brulé mon âme
Mon envie soudaine de tout relire
Parce que plus rien non plus rien ne peut s'écrire attend moi
Attend moi
Attend moi
C'est évident
J’aurai du changer de voyage et puis tout simplement
C'est évident
J’aurai du changer de voyage et puis tout simplement
Brisée de larmes
J'aurai brulée ma vie
Jeanne Mas, Massimo Calabrese, Lorenzo Meinardi et Marco Lecci
En parcourant c'est bout d'histoire
Dans c'est Réminiscence
Peut bavarde
Je n'est plus retrouver les traces
Ranger dans le silence d'un départ
Seul évident
J’aurai du changer de voyage et puis tout simplement
De c'est garlace
Reposer mes victoires
Pour quelque mot qui soulage plus
Dans ce mirage que je croyais perdue
La solitude d'un mais sincère
Me supplie de faire marche arrière
C'est évident
J’aurai du changer de voyage et puis tout simplement
De c'est garlace
oh c'est évident
On ma dépouiller de courage et puis tout simplement
Brisée de larmes
J'aurai brulé mon âme
Mon envie soudaine de tout relire
Parce que plus rien non plus rien ne peut s'écrire attend moi
Attend moi
Attend moi
C'est évident
J’aurai du changer de voyage et puis tout simplement
C'est évident
J’aurai du changer de voyage et puis tout simplement
Brisée de larmes
J'aurai brulée ma vie
Jeanne Mas, Massimo Calabrese, Lorenzo Meinardi et Marco Lecci
J'AVANCE
(Jeanne Mas)
As tu compris ce qui me retarde
Pour tout te dire, je suis peu bavarde
As tu assimilé la farce
De ce ridicule qui te remplace.
As tu rangé dans tes bricoles
Le son de ma voix qui te rend folle
Oubliée dans tes certitudes
As tu croisé mon inquiétude ?
Entre deux terres tu te balances
Sous ces flocons gelés d'avance
Cette importance qui ne te veux plus
Le point central est que...
J'avance, si tu me relances
J'avance
Usée de patience
J'avance, si tu me relances
J'avance
Pour que tout recommence
J'avance
As tu réglé le temps passé
A soutenir tes négligés
Combien de fois jeter l'éponge
Tu voulais tant m'éclabousser
Qui aurait pu flinguer l'artiste
Jugeant la fin de cette éclipse
Que tu repeins juste en surface
Pour n'en montrer qu'une faible trace.
Je recule devant tes distances
Le peu d'ardeur est dans tes manques
Cet impossible de mes nuits blanches
Atteint le point central
(Jeanne Mas)
As tu compris ce qui me retarde
Pour tout te dire, je suis peu bavarde
As tu assimilé la farce
De ce ridicule qui te remplace.
As tu rangé dans tes bricoles
Le son de ma voix qui te rend folle
Oubliée dans tes certitudes
As tu croisé mon inquiétude ?
Entre deux terres tu te balances
Sous ces flocons gelés d'avance
Cette importance qui ne te veux plus
Le point central est que...
J'avance, si tu me relances
J'avance
Usée de patience
J'avance, si tu me relances
J'avance
Pour que tout recommence
J'avance
As tu réglé le temps passé
A soutenir tes négligés
Combien de fois jeter l'éponge
Tu voulais tant m'éclabousser
Qui aurait pu flinguer l'artiste
Jugeant la fin de cette éclipse
Que tu repeins juste en surface
Pour n'en montrer qu'une faible trace.
Je recule devant tes distances
Le peu d'ardeur est dans tes manques
Cet impossible de mes nuits blanches
Atteint le point central