"Toute Première Fois (Remix Spécial Club)"
Toute Première Fois (12 Inch Mixes) (1984)
(Romano Musumarra/Roberto Zaneli/ Jeanne Mas)
Ah.
Ah, pourquoi ces mots si forts, si chauds
Qu'ils gémissaient sur ta peau, te font l'effet d'un couteau ?
Et tu recherches dans le vague, une ombre, un sourire qui soulage.
Une voix sans image, un refrain qui voudrait crier.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Ah.
Toute première fois, toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute première fois, toute première fois.
Ah, lèvres séchées, gorge nouée, tes mains ne serrent que fumée.
Ah, que d'insolence dans le silence qui trouble ton innocence.
Un jeu mêlé de souffrance, comme un guerrier que l'on blesse
Se cache dans son rêve, se masque de tout son courage.
Sans cesse continue le combat.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Comme la toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Ah, comme la toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois.
Toute Première Fois (12 Inch Mixes) (1984)
(Romano Musumarra/Roberto Zaneli/ Jeanne Mas)
Ah.
Ah, pourquoi ces mots si forts, si chauds
Qu'ils gémissaient sur ta peau, te font l'effet d'un couteau ?
Et tu recherches dans le vague, une ombre, un sourire qui soulage.
Une voix sans image, un refrain qui voudrait crier.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Ah.
Toute première fois, toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute première fois, toute première fois.
Ah, lèvres séchées, gorge nouée, tes mains ne serrent que fumée.
Ah, que d'insolence dans le silence qui trouble ton innocence.
Un jeu mêlé de souffrance, comme un guerrier que l'on blesse
Se cache dans son rêve, se masque de tout son courage.
Sans cesse continue le combat.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Comme la toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Ah, comme la toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois.
"Toute Première Fois (Version Longue)"
Toute Première Fois (12 Inch Mixes) (1984)
(Romano Musumarra/Roberto Zaneli/ Jeanne Mas)
Ah, des gouttes salées ont déchiré l'étrange pâleur d'un secret.
Ah, pourquoi ces mots si forts, si chauds
Qu'ils gémissaient sur ta peau, te font l'effet d'un couteau ?
Et tu recherches dans le vague, une ombre, un sourire qui soulage.
Une voix sans image, un refrain qui voudrait crier.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Ah, lèvres séchées, gorge nouée, tes mains ne serrent que fumée.
Ah, que d'insolence dans le silence qui trouble ton innocence.
Un jeu mêlé de souffrance, comme un guerrier que l'on blesse
Se cache dans son rêve, se masque de tout son courage.
Sans cesse continue le combat.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Comme la toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Comme la toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute Première Fois (12 Inch Mixes) (1984)
(Romano Musumarra/Roberto Zaneli/ Jeanne Mas)
Ah, des gouttes salées ont déchiré l'étrange pâleur d'un secret.
Ah, pourquoi ces mots si forts, si chauds
Qu'ils gémissaient sur ta peau, te font l'effet d'un couteau ?
Et tu recherches dans le vague, une ombre, un sourire qui soulage.
Une voix sans image, un refrain qui voudrait crier.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Ah, lèvres séchées, gorge nouée, tes mains ne serrent que fumée.
Ah, que d'insolence dans le silence qui trouble ton innocence.
Un jeu mêlé de souffrance, comme un guerrier que l'on blesse
Se cache dans son rêve, se masque de tout son courage.
Sans cesse continue le combat.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Comme la toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Comme la toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
Toute première fois, toute toute première fois.
Toute toute première fois, toute toute première fois.
"Johnny, Johnny (Version Longue)"
(Jeanne Mas/Romano Musumarra)
Et puis Johnny, Johnny, quand Johnny, Johnny.
Johnny, Johnny, non, Johnny, Johnny.
La nuit ouvre ses fenêtres sur la planète déserte
S'écrase dans une cigarette, joue sur l'onde muette.
Et l'homme s'enferme sans attitude, compte à rebours sa solitude
"Barreaux rouillés à cause d'elle, ma vie se perd, se sèche".
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas.
Non, Johnny, Johnny, cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort, épuisé par tant d'effort, tu l'aimes encore.
Les murs imprégnés de traces, son parfum se déplace
La chercher même dans l'espace, quand l'alcool te menace.
Et l'homme se soûle d'incertitude, dans sa fierté, cache sa blessure
"Rideau de fer, comment faire ? Comment survivre sans elle ?"
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas.
Non, Johnny, Johnny, cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort, épuisé par tant d'effort, tu l'aimes encore.
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas.
Non, Johnny, Johnny, cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort, épuisé par tant d'effort, tu l'aimes.
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas.
Non, Johnny, Johnny, cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort, épuisé par tant d'effort, tu l'aimes.
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas.
Non, Johnny, Johnny, cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort
Épuisé par tant d'effort, tu l'aimes, tu l'aimes.
(Jeanne Mas/Romano Musumarra)
Et puis Johnny, Johnny, quand Johnny, Johnny.
Johnny, Johnny, non, Johnny, Johnny.
La nuit ouvre ses fenêtres sur la planète déserte
S'écrase dans une cigarette, joue sur l'onde muette.
Et l'homme s'enferme sans attitude, compte à rebours sa solitude
"Barreaux rouillés à cause d'elle, ma vie se perd, se sèche".
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas.
Non, Johnny, Johnny, cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort, épuisé par tant d'effort, tu l'aimes encore.
Les murs imprégnés de traces, son parfum se déplace
La chercher même dans l'espace, quand l'alcool te menace.
Et l'homme se soûle d'incertitude, dans sa fierté, cache sa blessure
"Rideau de fer, comment faire ? Comment survivre sans elle ?"
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas.
Non, Johnny, Johnny, cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort, épuisé par tant d'effort, tu l'aimes encore.
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas.
Non, Johnny, Johnny, cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort, épuisé par tant d'effort, tu l'aimes.
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas.
Non, Johnny, Johnny, cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort, épuisé par tant d'effort, tu l'aimes.
Et puis Johnny, Johnny serre le vide dans ses bras
Quand Johnny, Johnny s'éveille, ne la trouve pas.
Et Johnny, Johnny s'égare, ne comprend pas.
Non, Johnny, Johnny, cette femme n'est plus à toi.
Comme un écho qui s'endort
Épuisé par tant d'effort, tu l'aimes, tu l'aimes.
"En Rouge Et Noir (Spécial Remix 1)"
(Massimo Calabrese/Piero Calabrese/Lorenzo Meinardi/
Romano Musumarra/ Jeanne Mas)
En rouge et noir, en rouge et noir, en rouge et noir, en rouge et noir.
Si l'on m'avait conseillée, j'aurais commis moins d'erreurs.
J'aurais su me rassurer toutes les fois que j'ai eu peur, peur.
J'aurais mis de la couleur sur mes joues et sur mes lèvres.
Je serais devenue jolie.
J'ai construit tant de châteaux, j'ai prononcé tant de noms.
Trop longtemps, je n'ai respiré autre chose que de la poussière.
Je n'ai pas su me calmer chaque fois que je manquais d'air.
Mes yeux ne veulent plus jouer, se maquillent d'indifférence.
Je renie mon innocence.
En rouge et noir, j'exilerai ma peur.
J'irai plus haut que ces montagnes de douleur.
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur
En échange d'une trêve de douceur.
En rouge et noir, mes luttes, mes faiblesses
Je les connais, je voudrais tellement qu'elles s'arrêtent.
En rouge et noir, drapeau de mes colères
Je réclame un peu de tendresse.
Si l'on m'avait conseillée, tout serait si différent.
J'ai raté mon premier rôle, je jouerai mieux le deuxième.
Je veux que la nuit s'achève.
En rouge et noir, j'exilerai ma peur.
J'irai plus haut que ces montagnes de douleur.
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur
En échange d'une trêve de douceur.
En rouge et noir, mes luttes, mes faiblesses
Je les connais, je voudrais tellement qu'elles s'arrêtent.
En rouge et noir, drapeau de mes colères
Je réclame un peu de tendresse.
En rouge et noir, en rouge et noir.
En rouge et noir, j'exilerai ma peur.
J'irai plus haut que ces montagnes de douleur.
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur
En échange d'une trêve de douceur.
En rouge et noir, en rouge et noir, en rouge et noir.
(Massimo Calabrese/Piero Calabrese/Lorenzo Meinardi/
Romano Musumarra/ Jeanne Mas)
En rouge et noir, en rouge et noir, en rouge et noir, en rouge et noir.
Si l'on m'avait conseillée, j'aurais commis moins d'erreurs.
J'aurais su me rassurer toutes les fois que j'ai eu peur, peur.
J'aurais mis de la couleur sur mes joues et sur mes lèvres.
Je serais devenue jolie.
J'ai construit tant de châteaux, j'ai prononcé tant de noms.
Trop longtemps, je n'ai respiré autre chose que de la poussière.
Je n'ai pas su me calmer chaque fois que je manquais d'air.
Mes yeux ne veulent plus jouer, se maquillent d'indifférence.
Je renie mon innocence.
En rouge et noir, j'exilerai ma peur.
J'irai plus haut que ces montagnes de douleur.
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur
En échange d'une trêve de douceur.
En rouge et noir, mes luttes, mes faiblesses
Je les connais, je voudrais tellement qu'elles s'arrêtent.
En rouge et noir, drapeau de mes colères
Je réclame un peu de tendresse.
Si l'on m'avait conseillée, tout serait si différent.
J'ai raté mon premier rôle, je jouerai mieux le deuxième.
Je veux que la nuit s'achève.
En rouge et noir, j'exilerai ma peur.
J'irai plus haut que ces montagnes de douleur.
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur
En échange d'une trêve de douceur.
En rouge et noir, mes luttes, mes faiblesses
Je les connais, je voudrais tellement qu'elles s'arrêtent.
En rouge et noir, drapeau de mes colères
Je réclame un peu de tendresse.
En rouge et noir, en rouge et noir.
En rouge et noir, j'exilerai ma peur.
J'irai plus haut que ces montagnes de douleur.
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur
En échange d'une trêve de douceur.
En rouge et noir, en rouge et noir, en rouge et noir.
"En Rouge Et Noir (Spécial Remix 2)"
(Massimo Calabrese/Piero Calabrese/Lorenzo Meinardi/
Romano Musumarra/ Jeanne Mas)
Si l'on m'avait conseillée, j'aurais commis moins d'erreurs.
J'aurais su me rassurer toutes les fois que j'ai eu peur.
Je me serais blottie au chaud à l'abri d'un vent trop fier
Et j'aurais soigné ma peau blessée par les froids d'hivers.
J'aurais mis de la couleur sur mes joues et sur mes lèvres.
Je serais devenue jolie.
J'ai construit tant de châteaux qui se réduisaient en sable.
J'ai prononcé tant de noms qui n'avaient aucun visage.
Trop longtemps, je n'ai respiré autre chose que d'la poussière.
Je n'ai pas su me calmer chaque fois que je manquais d'air.
Mes yeux ne veulent plus jouer, se maquillent d'indifférence.
Je renie mon innocence.
En rouge et noir, j'exilerai ma peur.
J'irai plus haut que ces montagnes de douleur.
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur
En échange d'une trêve de douceur.
En rouge et noir, mes luttes, mes faiblesses
Je les connais, je voudrais tellement qu'elles s'arrêtent.
En rouge et noir, drapeau de mes colères
Je réclame un peu de tendresse.
Si l'on m'avait conseillée, tout serait si différent.
J'aurais su vous pardonner, je serais moins seule à présent.
Somnambule, j'ai trop couru dans le noir des grandes forêts.
Je me suis souvent perdue dans des mensonges qui tuaient.
J'ai raté mon premier rôle, je jouerai mieux le deuxième.
Je veux que la nuit s'achève.
En rouge et noir, j'exilerai ma peur.
J'irai plus haut que ces montagnes de douleur.
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur
En échange d'une trêve de douceur.
En rouge et noir, mes luttes, mes faiblesses
Je les connais, je voudrais tellement qu'elles s'arrêtent.
En rouge et noir, drapeau de mes colères
Je réclame un peu de tendresse.
En rouge et noir, en rouge et noir, en rouge et noir, en rouge et noir.
(Massimo Calabrese/Piero Calabrese/Lorenzo Meinardi/
Romano Musumarra/ Jeanne Mas)
Si l'on m'avait conseillée, j'aurais commis moins d'erreurs.
J'aurais su me rassurer toutes les fois que j'ai eu peur.
Je me serais blottie au chaud à l'abri d'un vent trop fier
Et j'aurais soigné ma peau blessée par les froids d'hivers.
J'aurais mis de la couleur sur mes joues et sur mes lèvres.
Je serais devenue jolie.
J'ai construit tant de châteaux qui se réduisaient en sable.
J'ai prononcé tant de noms qui n'avaient aucun visage.
Trop longtemps, je n'ai respiré autre chose que d'la poussière.
Je n'ai pas su me calmer chaque fois que je manquais d'air.
Mes yeux ne veulent plus jouer, se maquillent d'indifférence.
Je renie mon innocence.
En rouge et noir, j'exilerai ma peur.
J'irai plus haut que ces montagnes de douleur.
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur
En échange d'une trêve de douceur.
En rouge et noir, mes luttes, mes faiblesses
Je les connais, je voudrais tellement qu'elles s'arrêtent.
En rouge et noir, drapeau de mes colères
Je réclame un peu de tendresse.
Si l'on m'avait conseillée, tout serait si différent.
J'aurais su vous pardonner, je serais moins seule à présent.
Somnambule, j'ai trop couru dans le noir des grandes forêts.
Je me suis souvent perdue dans des mensonges qui tuaient.
J'ai raté mon premier rôle, je jouerai mieux le deuxième.
Je veux que la nuit s'achève.
En rouge et noir, j'exilerai ma peur.
J'irai plus haut que ces montagnes de douleur.
En rouge et noir, j'afficherai mon cœur
En échange d'une trêve de douceur.
En rouge et noir, mes luttes, mes faiblesses
Je les connais, je voudrais tellement qu'elles s'arrêtent.
En rouge et noir, drapeau de mes colères
Je réclame un peu de tendresse.
En rouge et noir, en rouge et noir, en rouge et noir, en rouge et noir.
"L'Enfant (Version Longue)"
(Jeanne Mas/Romano Musumarra/Roberto Zaneli)
C'est l'histoire d'un rêve troublant, un message, l'histoire d'un enfant
Qui marche seul dans les villes en flammes
Sans nom, sans âme, épuisé de larmes.
C'est l'histoire profonde et réelle
D'un gosse blessé qui cherche la lumière
La chaleur des bras de sa mère, la grandeur, la force de son père.
Quand les lois dispersent les chemins, sans remède, l'indulgence s'éteint
Sous un ciel grisé de tourments
"Mots des mots, ces accords joués sonnent trop faux".
Pourquoi courent-ils, où sont ceux qui portent mon sang ?
De quel côté est ce grand soleil puissant ?
C'est l'histoire d'un enfant qui joue avec des armes, avec des cailloux
Inconscience parmi les débris, il cherche l'Amour qu'on lui a détruit.
Quand la nuit apaise les colères et le blottit d'un souvenir amer
Quand son cœur n'osera plus gémir
"Mots des mots, ces accords joués sonnent trop faux".
Pourquoi courent-ils, où sont ceux qui portent mon sang ?
De quel côté est ce grand soleil puissant ?
C'est l'histoire d'un rêve troublant, un message, l'histoire d'un enfant
Qui marche seul dans les villes en flammes
Sans nom, sans âme, épuisé de larmes.
C'est l'histoire profonde et réelle
D'un gosse blessé qui cherche la lumière
La chaleur des bras de sa mère, la grandeur, la force de son père.
C'est l'histoire d'un rêve troublant, un message, l'histoire d'un enfant
Qui marche seul dans les villes en flammes
Sans nom, sans âme, épuisé de larmes.
C'est l'histoire profonde et réelle
D'un gosse blessé qui cherche la lumière
La chaleur des bras de sa mère, la grandeur, la force de son père.
C'est l'histoire d'un rêve troublant, un message, l'histoire d'un enfant
Qui marche seul dans les villes en flammes
Sans nom, sans âme, épuisé de larmes.
C'est l'histoire profonde et réelle
D'un gosse blessé qui cherche la lumière
La chaleur des bras de sa mère, la grandeur, la force de son père.
(Jeanne Mas/Romano Musumarra/Roberto Zaneli)
C'est l'histoire d'un rêve troublant, un message, l'histoire d'un enfant
Qui marche seul dans les villes en flammes
Sans nom, sans âme, épuisé de larmes.
C'est l'histoire profonde et réelle
D'un gosse blessé qui cherche la lumière
La chaleur des bras de sa mère, la grandeur, la force de son père.
Quand les lois dispersent les chemins, sans remède, l'indulgence s'éteint
Sous un ciel grisé de tourments
"Mots des mots, ces accords joués sonnent trop faux".
Pourquoi courent-ils, où sont ceux qui portent mon sang ?
De quel côté est ce grand soleil puissant ?
C'est l'histoire d'un enfant qui joue avec des armes, avec des cailloux
Inconscience parmi les débris, il cherche l'Amour qu'on lui a détruit.
Quand la nuit apaise les colères et le blottit d'un souvenir amer
Quand son cœur n'osera plus gémir
"Mots des mots, ces accords joués sonnent trop faux".
Pourquoi courent-ils, où sont ceux qui portent mon sang ?
De quel côté est ce grand soleil puissant ?
C'est l'histoire d'un rêve troublant, un message, l'histoire d'un enfant
Qui marche seul dans les villes en flammes
Sans nom, sans âme, épuisé de larmes.
C'est l'histoire profonde et réelle
D'un gosse blessé qui cherche la lumière
La chaleur des bras de sa mère, la grandeur, la force de son père.
C'est l'histoire d'un rêve troublant, un message, l'histoire d'un enfant
Qui marche seul dans les villes en flammes
Sans nom, sans âme, épuisé de larmes.
C'est l'histoire profonde et réelle
D'un gosse blessé qui cherche la lumière
La chaleur des bras de sa mère, la grandeur, la force de son père.
C'est l'histoire d'un rêve troublant, un message, l'histoire d'un enfant
Qui marche seul dans les villes en flammes
Sans nom, sans âme, épuisé de larmes.
C'est l'histoire profonde et réelle
D'un gosse blessé qui cherche la lumière
La chaleur des bras de sa mère, la grandeur, la force de son père.
"Sauvez-Moi (Version Longue)"
(Jeanne Mas/Romano Musumarra/Roberto Zaneli)
À la renverse, je suis tombée, il aurait pu m'assassiner
M'étrangler dans sa fièvre, mais moi, je cède à ses colères.
Dans ce désert, je me suis perdue, révolution, voie sans issue.
Il me noie de promesses, et moi, je me ruine dans ses caresses.
Il est ma drogue, mon essence, mon tourment, mon inconscience.
L'homme qui m'a dérobé l'âme.
Sauvez-moi quand il me soulève
Qu'il me tend la main, ma voix se dérègle.
Sauvez-moi, ses yeux me désarment
Quand il me retient, quand ses bras m'encerclent si fort.
Quand son corps me colle et ses pardons me rendent folle.
Dans l'univers de sa fierté, il a voulu me posséder.
Sa volonté m'achète, et moi, j'accepte ses faiblesses.
Le labyrinthe de ses passions a suicidé toute ma raison.
Il a glacé mes veines, mais moi, je n'ose fuir sa planète.
Il annule mon existence, maître de mon indulgence.
Il viole mon impuissance.
Sauvez-moi quand il me soulève
Qu'il me tend la main, ma voix se dérègle.
Sauvez-moi, ses yeux me désarment
Quand il me retient, quand ses bras m'encerclent si fort.
Quand son corps me colle et ses pardons me rendent folle.
Quand son corps me colle et ses pardons me rendent folle.
Sauvez-moi quand il me soulève
Qu'il me tend la main, ma voix se dérègle.
Sauvez-moi, ses yeux me désarment
Quand il me retient, quand ses bras m'encerclent si fort.
Mais moi, quand son corps me colle, tous ses pardons me rendent folle.
Mais moi, ses yeux me désarment
Quand il me retient, quand ses bras m'encerclent si fort.
Sauvez-moi quand il me soulève
Qu'il me tend la main, ma voix se dérègle.
Sauvez-moi, ses yeux me désarment
Quand il me retient, quand ses bras m'encerclent.
Sauvez-moi quand il me soulève
Qu'il me tend la main, ma voix se dérègle.
Sauvez-moi, ses yeux me désarment
Quand il me retient, quand ses bras m'encerclent si fort.
(Jeanne Mas/Romano Musumarra/Roberto Zaneli)
À la renverse, je suis tombée, il aurait pu m'assassiner
M'étrangler dans sa fièvre, mais moi, je cède à ses colères.
Dans ce désert, je me suis perdue, révolution, voie sans issue.
Il me noie de promesses, et moi, je me ruine dans ses caresses.
Il est ma drogue, mon essence, mon tourment, mon inconscience.
L'homme qui m'a dérobé l'âme.
Sauvez-moi quand il me soulève
Qu'il me tend la main, ma voix se dérègle.
Sauvez-moi, ses yeux me désarment
Quand il me retient, quand ses bras m'encerclent si fort.
Quand son corps me colle et ses pardons me rendent folle.
Dans l'univers de sa fierté, il a voulu me posséder.
Sa volonté m'achète, et moi, j'accepte ses faiblesses.
Le labyrinthe de ses passions a suicidé toute ma raison.
Il a glacé mes veines, mais moi, je n'ose fuir sa planète.
Il annule mon existence, maître de mon indulgence.
Il viole mon impuissance.
Sauvez-moi quand il me soulève
Qu'il me tend la main, ma voix se dérègle.
Sauvez-moi, ses yeux me désarment
Quand il me retient, quand ses bras m'encerclent si fort.
Quand son corps me colle et ses pardons me rendent folle.
Quand son corps me colle et ses pardons me rendent folle.
Sauvez-moi quand il me soulève
Qu'il me tend la main, ma voix se dérègle.
Sauvez-moi, ses yeux me désarment
Quand il me retient, quand ses bras m'encerclent si fort.
Mais moi, quand son corps me colle, tous ses pardons me rendent folle.
Mais moi, ses yeux me désarment
Quand il me retient, quand ses bras m'encerclent si fort.
Sauvez-moi quand il me soulève
Qu'il me tend la main, ma voix se dérègle.
Sauvez-moi, ses yeux me désarment
Quand il me retient, quand ses bras m'encerclent.
Sauvez-moi quand il me soulève
Qu'il me tend la main, ma voix se dérègle.
Sauvez-moi, ses yeux me désarment
Quand il me retient, quand ses bras m'encerclent si fort.
"Shakespeare (Remix)"
(Jeanne Mas)
Les allumés d'Aphrodite, les allumés romantiques
Les troubadours, romanciers de secours
Vibrent d'amour, exposition glamour.
Morale oblique, l'âme vocalise, c'est lyrique.
Les allumés d'Aphrodite, les allumés lunatiques
L'homme à l'action, la noblesse des violons
L'heure des moissons, on cultive ses frissons
Anatomique, l'art s'intoxique lorsque...
Shakespeare nous inspire, l'effort dépouillé.
Shakespeare fatalise, les sens périmés, Shakespeare, Shakespeare.
Les allumés d'Aphrodite, les allumés du chimique
L'inspiration, héroïne des passions
L'oiseau fécond favorise l'invasion.
Béatitude, l'extase s'annule lorsque...
Shakespeare nous inspire, l'effort dépouillé.
Shakespeare fatalise, les sens périmés.
Shakespeare nous inspire, l'effort dépouillé.
Shakespeare fatalise, les sens périmés.
Les allumés, les allumés.
Shakespeare nous inspire, l'effort dépouillé.
Shakespeare fatalise, les sens périmés.
Shakespeare nous inspire, l'effort dépouillé.
Shakespeare fatalise, les sens périmés.
Shakespeare, Shakespeare, Shakespeare, Shakespeare.
(Jeanne Mas)
Les allumés d'Aphrodite, les allumés romantiques
Les troubadours, romanciers de secours
Vibrent d'amour, exposition glamour.
Morale oblique, l'âme vocalise, c'est lyrique.
Les allumés d'Aphrodite, les allumés lunatiques
L'homme à l'action, la noblesse des violons
L'heure des moissons, on cultive ses frissons
Anatomique, l'art s'intoxique lorsque...
Shakespeare nous inspire, l'effort dépouillé.
Shakespeare fatalise, les sens périmés, Shakespeare, Shakespeare.
Les allumés d'Aphrodite, les allumés du chimique
L'inspiration, héroïne des passions
L'oiseau fécond favorise l'invasion.
Béatitude, l'extase s'annule lorsque...
Shakespeare nous inspire, l'effort dépouillé.
Shakespeare fatalise, les sens périmés.
Shakespeare nous inspire, l'effort dépouillé.
Shakespeare fatalise, les sens périmés.
Les allumés, les allumés.
Shakespeare nous inspire, l'effort dépouillé.
Shakespeare fatalise, les sens périmés.
Shakespeare nous inspire, l'effort dépouillé.
Shakespeare fatalise, les sens périmés.
Shakespeare, Shakespeare, Shakespeare, Shakespeare.