MADE IN FRANCE
OUVERTURE
Fais pas cette tête,
Viens faire la fête,
Fais comme quand tout s’arrête
Viens danser avec moi...
Fais pas cette tête et prends moi dans tes bras
MADE IN FRANCE
Je n’ai pas dormi, veillé des heures,
Je crains l’ennui c’est pour cela qu’il me fait peur
Patiente et sourde, j’attends son éveil
Un peu perdue, par tant d’ardeur,
C’est bien connu la passion pousse à l’erreur
J’en suis réduite à relire ses lettres
Il m’a dit j’suis Made in France
Sur le ton de l’élégance
Je n’ai plus la tête de mes vingt ans
J’ai beau lui dire qu’il n’est plus ce que j’attends
Bien qu’il ne soit que ce que j’espère
Il m’a dit j’suis Made in France
Sur le ton de l’élégance
Il m’a dit J’suis made in France
Sur le ton de l’élégance
Le sourire prêt pour le replay
Il m‘a dit je veux que tu te balances
Sur le fil de l’arrogance
Que tu me survives et que tu te perdes
C’est c’est si facile de lui dire oui
Je n’ai pas dormi, je veux être à lui.
UN PEU DE
Comment ça va depuis le temps?
Que je te vois tout hésitant
Allume toi la dernière cigarette
Viens t’allonger ici
Avant que tout ne s’arrête
Un peu de moi dans le sublime
Cet essentiel qui redevient comme une routine
Un peu de toi, avec en prime
Du Pino noir pour accentuer le rythme
Un peu de toi un peu de moi.
Un peu de moi un peu de toi beaucoup de toi
Et encore moi
Comment tu te sens?
Ce mal de tête?
Mais oui celui que tu revendiques de l’être,
Ah bon, pourtant, j’avais cru croire
Que ton vouloir était de m’éclairer dans le noir
Un peu de toi, qui me résiste
Ce que j’adore il faudra que tu me l’expliques
Un peu de moi, sans équilibre,
Fallait me le dire avant que je ne te déchiffre
Un peu de moi, un peu de toi, beaucoup de moi?
Un peu de moi, un peu de toi, et pas de toi?
Un peu de moi, beaucoup de toi ou bien c’est rien.
FAIS MOI DE LA PEINE
J’ai égaré les poèmes,
Où tu disais que tu m’aimes.
Oh, oh, dis moi que tu m’aimes
Que, tu me feras de la peine,
Dis moi que tu m’aimes.
Barrées toutes les routes, essoufflée
Aérer ce qui peut être égaré
Dénoncer les banalités du peut-être
Pour n’entendre que des vérités perplexes.
Tous ces poèmes égarés,
Ces trucs qui se disent en Anglais
Pour mieux comprendre le Français.
Toutes ces demandes affamées,
Que de surprises fanées que l’on retrouve sur les quais.
Oh, oh, dis moi que tu m’aimes
Que, tu me feras de la peine,
Dis moi que tu m’aimes.
Dis moi que tu m’aimes
Écris moi tous ces poèmes.
Rétrograder le jour et l’heure
Pour quelques gouttes de bonheur
Dans ce Verlaine décadent,
Je veux des promesses de firmament.
Tous ces mots qui dégoulinent
Comme un vaisseau qu’on abîme
Pour des regrets sans résine.
C’est comme danser sur un fil
En attendant que l’électrique
Secoue cette énorme déprime.
Dis moi que tu m’aimes,
Redis le encore.
Qu’importe ma peine. Si je te crois encore.
LA PREMIÈRE
Si tu voulais, nous pourrions continuer ensembles
Si tu voulais j’ai tant d’amour à revendre
Si tu voulais, on pourrait vivre comme font les autres
Et ignorer tous ces différents, qui nous opposent.
Si tu voulais, dans le jardin de mes certitudes,
Nous reposer, comme ces héros, de l’habitude.
Si tu voulais, poser juste la première pierre,
Et oublier, que tu me cèdes cette première.
Si tu pouvais, arrêter un instant de te plaindre.
Et d’insister, de me regarder et de me repeindre.
Si tu voulais nous pourrions continuer ensembles
Si tu voulais, j’ai encore d’amour à revendre.
Tout oublier et ne garder que le meilleur
Comme avant, tout garder comme avant.
ENTRACTE 1
Regarde moi de haut,
Parle moi tout bas.
Confond moi de honte,
Dis moi que tu aimes ça.
Éteint la bougie
Que l’on s’introduise
Et que tu me confondes avec ta Divine
Fais comme bon te semble
Et dans l’alternance
Écrase moi de haine
C’est sans importance
Garde les yeux ouverts
Ouvre ton courage,
Et mord toi les lèvres
Sur ce que tu remplaces
Comme elle doit être belle
Mais pas assez garce.
Comme elle doit être belle.
AU BOUT DU CHEMIN
Je l’ai vu passer ce matin il m’a dit je reprends le train
C’est un adieu ou bien rien. ça va dépendre du destin
Il a salué de sa main le hasard qu’il a en tête
Comme un courage incertain mais jamais l’on ne regrette.
Libre, au bout de ce chemin, je me vois libre
Aveugle et incertain mais enfin ivre
De penser qu’il est temps que je me survive.
Il a posé sa valise sur le quai est elle restée,
Une partie de son histoire dans un carton enfermée.
Je l’ai cherché du regard il n’a fait que m’éviter
Pour avancer dans le noir il faut savoir s’exiler.
Libre, au bout de ce chemin, je me vois libre
Aveugle et incertain mais enfin ivre
De penser qu’il est temps que je me survive.
Libre, au bout de ce chemin, je me vois libre
Aveugle et incertain mais enfin ivre
De penser qu’il est temps que je me survive.
DÉCEMBRE
Dieu que les années sont longues
Lorsqu’on attend que Décembre
Nous illumine les boulevards
Qui refroidissent nos ombres
Par un mois de Décembre,
J’ai découvert ses yeux
Sous la blancheur aveuglante
D’un hivers trop précieux.
et si tout n’était juste qu’un rêve
Par un mois de Décembre
J’aurais voulu le revoir
Impressionné, solitaire
Dans l’obscurité d’un bar
et si tout n’était juste qu’un rêve
Dans l’attente monotone
Je revois ce qui n’est plus à voir
Les larmes glacées de l’automne
Vont déposer leur buvards.
Par un mois de décembre,
J’ai découvert ses yeux
Sous la blancheur aveuglante
D’un hivers trop précieux.
et si tout n’était juste qu’un rêve
Par un mois de Décembre
J’aurais voulu le revoir
Impressionné, solitaire
Dans l’obscurité d’un bar
et si tout n’était juste qu’un rêve
ENTRACTE 2
C’est la guerre, c’est la guerre
Entre nous c’est la guerre
La farine, la colère
C’est la guerre, c’est la guerre.
Mais parce qu’il y en a marre
De tes fausses ballades
Que tu rejettes mes salades
Vu le prix des tomates.
Entre nous c’est la guerre
C’est la guerre, c’est la guerre.
Tes amis, tes affaires
Et à moi les galères
Mais parce qu’il y en a marre
De ton foot le samedi,
De ton sexe le jeudi
Et que tu pleures quand je ris.
C’est la guerre, c’est la guerre
Entre nous c’est la guerre.
C’est ce que les médias préfèrent,
C’est un question d’audimat
( enfin tout ça c’est compliqué)
C’est la guerre, c’est la guerre
Entre nous c’est la guerre.
Au bout de cette galère,
Il ne reste que toi et moi.
POUR TOI J’AI TORT
C’est sans doute pour toi
Que j’ai fait tout ça, tu ne le vois pas.
C’est sans doute pour toi que j’ai fat tout ça.
Pour qui, pourtant, pourquoi, comment,
Passablement, évidemment j’ai tort,
J’ai toujours tort.
Pour qui, pourtant, pourquoi, comment,
Passablement, évidemment j’ai tort,
J’ai toujours tort.
C’est sans doute pour toi
Que j’ai fait tout ça, tu ne le vois pas.
Sous un pardon ultime,
Cette lame qui dessine, ma souffrance intime
Condamnée comme en prime
Vulnérable invisible, sur le banc des victimes.
C’est sans doute pour toi
Que j’ai fait tout ça, ne le vois tu pas.
C’est sans doute pour toi que j’ai fat tout ça.
Ai je encore le pouvoir d’être une victime.
Pour qui, pourtant, pourquoi, comment,
Passablement, évidemment j’ai tort,
J’ai toujours tort.
Pour qui, pourtant, pourquoi, comment,
Passablement, évidemment j’ai tort,
J’ai toujours tort.
C’est sans doute pour toi
Que j’ai fait tout ça, tu ne le vois pas.
Sous un pardon ultime,
Cette lame qui dessine, ma souffrance intime
Condamnée comme en prime
Vulnérable invisible, sur le banc des victimes.
REGARDE AILLEURS
C’est pas de l’amour entre mes jambes
Ce qui s’y murmure est confidence
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses erreurs.
Je ne comprends pas ce qui te gêne,
Le ton de ma voix ou bien ma gaine
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses valeurs.
A moins que ce ne soit le rouge sur mes lèvres
Que j’ai dû gonfler d’oxygène
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses erreurs.
Qu’est ce que tu juges et de quel droit
Ta morale ici n n’en veut pas.
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses valeurs.
Viens chercher ton homme dans mes bras.
C’est le seul endroit qui ne se plaint pas.
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses erreurs.
Tu crois mes jours ne sont que joie
Comme c’est étrange tu ne vois que ça
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses valeurs.
Toutes ces blessures sous ma tignasse
Personne n’échangerait ma place.
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses erreurs.
C’est pas la peine de m’isoler
J’ai aussi des gosses et pas de blé.
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
DANS LE DÉSERT
Tu déshabilles ce qui ne va pas
Ce qu’un reptile attend de toi
Le feu se glace entre tes pas
Sur toutes tes lattes, ne t’égare pas.
Ça fait des miles que je marche.
A toi je ne pense qu’à toi,
Derrière je ne vois plus les traces,
Les traces de nos pas.
Sans toi dans le désert
Sans toi dans le désert,
Je ne survivrai pas.
Ça fait des miles que je marche.
A toi je ne pense qu’à toi,
Derrière je ne vois plus les traces,
Les traces de nos pas.
Sans toi dans le désert
Sans toi dans le désert,
Je ne survivrai pas.
Tu t’intoxiques de toutes ces peurs,
Que d’héroique d’avant l’heure
Dans ce silence il n’y a que toi
Et ces vautours, je en comprends pas.
Ça fait des miles que je marche.
Des jours des nuits, des soifs
Et que le vent passe mes traces
Les traces de nos pas.
Sans toi dans le désert
Sans toi dans le désert,
Je ne survivrai pas.
Sans toi dans le désert
Sans toi dans le désert,
Je ne survivrai pas.
OUVERTURE
Fais pas cette tête,
Viens faire la fête,
Fais comme quand tout s’arrête
Viens danser avec moi...
Fais pas cette tête et prends moi dans tes bras
MADE IN FRANCE
Je n’ai pas dormi, veillé des heures,
Je crains l’ennui c’est pour cela qu’il me fait peur
Patiente et sourde, j’attends son éveil
Un peu perdue, par tant d’ardeur,
C’est bien connu la passion pousse à l’erreur
J’en suis réduite à relire ses lettres
Il m’a dit j’suis Made in France
Sur le ton de l’élégance
Je n’ai plus la tête de mes vingt ans
J’ai beau lui dire qu’il n’est plus ce que j’attends
Bien qu’il ne soit que ce que j’espère
Il m’a dit j’suis Made in France
Sur le ton de l’élégance
Il m’a dit J’suis made in France
Sur le ton de l’élégance
Le sourire prêt pour le replay
Il m‘a dit je veux que tu te balances
Sur le fil de l’arrogance
Que tu me survives et que tu te perdes
C’est c’est si facile de lui dire oui
Je n’ai pas dormi, je veux être à lui.
UN PEU DE
Comment ça va depuis le temps?
Que je te vois tout hésitant
Allume toi la dernière cigarette
Viens t’allonger ici
Avant que tout ne s’arrête
Un peu de moi dans le sublime
Cet essentiel qui redevient comme une routine
Un peu de toi, avec en prime
Du Pino noir pour accentuer le rythme
Un peu de toi un peu de moi.
Un peu de moi un peu de toi beaucoup de toi
Et encore moi
Comment tu te sens?
Ce mal de tête?
Mais oui celui que tu revendiques de l’être,
Ah bon, pourtant, j’avais cru croire
Que ton vouloir était de m’éclairer dans le noir
Un peu de toi, qui me résiste
Ce que j’adore il faudra que tu me l’expliques
Un peu de moi, sans équilibre,
Fallait me le dire avant que je ne te déchiffre
Un peu de moi, un peu de toi, beaucoup de moi?
Un peu de moi, un peu de toi, et pas de toi?
Un peu de moi, beaucoup de toi ou bien c’est rien.
FAIS MOI DE LA PEINE
J’ai égaré les poèmes,
Où tu disais que tu m’aimes.
Oh, oh, dis moi que tu m’aimes
Que, tu me feras de la peine,
Dis moi que tu m’aimes.
Barrées toutes les routes, essoufflée
Aérer ce qui peut être égaré
Dénoncer les banalités du peut-être
Pour n’entendre que des vérités perplexes.
Tous ces poèmes égarés,
Ces trucs qui se disent en Anglais
Pour mieux comprendre le Français.
Toutes ces demandes affamées,
Que de surprises fanées que l’on retrouve sur les quais.
Oh, oh, dis moi que tu m’aimes
Que, tu me feras de la peine,
Dis moi que tu m’aimes.
Dis moi que tu m’aimes
Écris moi tous ces poèmes.
Rétrograder le jour et l’heure
Pour quelques gouttes de bonheur
Dans ce Verlaine décadent,
Je veux des promesses de firmament.
Tous ces mots qui dégoulinent
Comme un vaisseau qu’on abîme
Pour des regrets sans résine.
C’est comme danser sur un fil
En attendant que l’électrique
Secoue cette énorme déprime.
Dis moi que tu m’aimes,
Redis le encore.
Qu’importe ma peine. Si je te crois encore.
LA PREMIÈRE
Si tu voulais, nous pourrions continuer ensembles
Si tu voulais j’ai tant d’amour à revendre
Si tu voulais, on pourrait vivre comme font les autres
Et ignorer tous ces différents, qui nous opposent.
Si tu voulais, dans le jardin de mes certitudes,
Nous reposer, comme ces héros, de l’habitude.
Si tu voulais, poser juste la première pierre,
Et oublier, que tu me cèdes cette première.
Si tu pouvais, arrêter un instant de te plaindre.
Et d’insister, de me regarder et de me repeindre.
Si tu voulais nous pourrions continuer ensembles
Si tu voulais, j’ai encore d’amour à revendre.
Tout oublier et ne garder que le meilleur
Comme avant, tout garder comme avant.
ENTRACTE 1
Regarde moi de haut,
Parle moi tout bas.
Confond moi de honte,
Dis moi que tu aimes ça.
Éteint la bougie
Que l’on s’introduise
Et que tu me confondes avec ta Divine
Fais comme bon te semble
Et dans l’alternance
Écrase moi de haine
C’est sans importance
Garde les yeux ouverts
Ouvre ton courage,
Et mord toi les lèvres
Sur ce que tu remplaces
Comme elle doit être belle
Mais pas assez garce.
Comme elle doit être belle.
AU BOUT DU CHEMIN
Je l’ai vu passer ce matin il m’a dit je reprends le train
C’est un adieu ou bien rien. ça va dépendre du destin
Il a salué de sa main le hasard qu’il a en tête
Comme un courage incertain mais jamais l’on ne regrette.
Libre, au bout de ce chemin, je me vois libre
Aveugle et incertain mais enfin ivre
De penser qu’il est temps que je me survive.
Il a posé sa valise sur le quai est elle restée,
Une partie de son histoire dans un carton enfermée.
Je l’ai cherché du regard il n’a fait que m’éviter
Pour avancer dans le noir il faut savoir s’exiler.
Libre, au bout de ce chemin, je me vois libre
Aveugle et incertain mais enfin ivre
De penser qu’il est temps que je me survive.
Libre, au bout de ce chemin, je me vois libre
Aveugle et incertain mais enfin ivre
De penser qu’il est temps que je me survive.
DÉCEMBRE
Dieu que les années sont longues
Lorsqu’on attend que Décembre
Nous illumine les boulevards
Qui refroidissent nos ombres
Par un mois de Décembre,
J’ai découvert ses yeux
Sous la blancheur aveuglante
D’un hivers trop précieux.
et si tout n’était juste qu’un rêve
Par un mois de Décembre
J’aurais voulu le revoir
Impressionné, solitaire
Dans l’obscurité d’un bar
et si tout n’était juste qu’un rêve
Dans l’attente monotone
Je revois ce qui n’est plus à voir
Les larmes glacées de l’automne
Vont déposer leur buvards.
Par un mois de décembre,
J’ai découvert ses yeux
Sous la blancheur aveuglante
D’un hivers trop précieux.
et si tout n’était juste qu’un rêve
Par un mois de Décembre
J’aurais voulu le revoir
Impressionné, solitaire
Dans l’obscurité d’un bar
et si tout n’était juste qu’un rêve
ENTRACTE 2
C’est la guerre, c’est la guerre
Entre nous c’est la guerre
La farine, la colère
C’est la guerre, c’est la guerre.
Mais parce qu’il y en a marre
De tes fausses ballades
Que tu rejettes mes salades
Vu le prix des tomates.
Entre nous c’est la guerre
C’est la guerre, c’est la guerre.
Tes amis, tes affaires
Et à moi les galères
Mais parce qu’il y en a marre
De ton foot le samedi,
De ton sexe le jeudi
Et que tu pleures quand je ris.
C’est la guerre, c’est la guerre
Entre nous c’est la guerre.
C’est ce que les médias préfèrent,
C’est un question d’audimat
( enfin tout ça c’est compliqué)
C’est la guerre, c’est la guerre
Entre nous c’est la guerre.
Au bout de cette galère,
Il ne reste que toi et moi.
POUR TOI J’AI TORT
C’est sans doute pour toi
Que j’ai fait tout ça, tu ne le vois pas.
C’est sans doute pour toi que j’ai fat tout ça.
Pour qui, pourtant, pourquoi, comment,
Passablement, évidemment j’ai tort,
J’ai toujours tort.
Pour qui, pourtant, pourquoi, comment,
Passablement, évidemment j’ai tort,
J’ai toujours tort.
C’est sans doute pour toi
Que j’ai fait tout ça, tu ne le vois pas.
Sous un pardon ultime,
Cette lame qui dessine, ma souffrance intime
Condamnée comme en prime
Vulnérable invisible, sur le banc des victimes.
C’est sans doute pour toi
Que j’ai fait tout ça, ne le vois tu pas.
C’est sans doute pour toi que j’ai fat tout ça.
Ai je encore le pouvoir d’être une victime.
Pour qui, pourtant, pourquoi, comment,
Passablement, évidemment j’ai tort,
J’ai toujours tort.
Pour qui, pourtant, pourquoi, comment,
Passablement, évidemment j’ai tort,
J’ai toujours tort.
C’est sans doute pour toi
Que j’ai fait tout ça, tu ne le vois pas.
Sous un pardon ultime,
Cette lame qui dessine, ma souffrance intime
Condamnée comme en prime
Vulnérable invisible, sur le banc des victimes.
REGARDE AILLEURS
C’est pas de l’amour entre mes jambes
Ce qui s’y murmure est confidence
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses erreurs.
Je ne comprends pas ce qui te gêne,
Le ton de ma voix ou bien ma gaine
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses valeurs.
A moins que ce ne soit le rouge sur mes lèvres
Que j’ai dû gonfler d’oxygène
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses erreurs.
Qu’est ce que tu juges et de quel droit
Ta morale ici n n’en veut pas.
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses valeurs.
Viens chercher ton homme dans mes bras.
C’est le seul endroit qui ne se plaint pas.
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses erreurs.
Tu crois mes jours ne sont que joie
Comme c’est étrange tu ne vois que ça
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses valeurs.
Toutes ces blessures sous ma tignasse
Personne n’échangerait ma place.
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
A chacun sa vie, ses erreurs.
C’est pas la peine de m’isoler
J’ai aussi des gosses et pas de blé.
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
Si ça te dérange, regarde ailleurs.
DANS LE DÉSERT
Tu déshabilles ce qui ne va pas
Ce qu’un reptile attend de toi
Le feu se glace entre tes pas
Sur toutes tes lattes, ne t’égare pas.
Ça fait des miles que je marche.
A toi je ne pense qu’à toi,
Derrière je ne vois plus les traces,
Les traces de nos pas.
Sans toi dans le désert
Sans toi dans le désert,
Je ne survivrai pas.
Ça fait des miles que je marche.
A toi je ne pense qu’à toi,
Derrière je ne vois plus les traces,
Les traces de nos pas.
Sans toi dans le désert
Sans toi dans le désert,
Je ne survivrai pas.
Tu t’intoxiques de toutes ces peurs,
Que d’héroique d’avant l’heure
Dans ce silence il n’y a que toi
Et ces vautours, je en comprends pas.
Ça fait des miles que je marche.
Des jours des nuits, des soifs
Et que le vent passe mes traces
Les traces de nos pas.
Sans toi dans le désert
Sans toi dans le désert,
Je ne survivrai pas.
Sans toi dans le désert
Sans toi dans le désert,
Je ne survivrai pas.
IL PLEUT DES LUNES
Il pleut des lunes des idées brunes il pleut des songes
Il pleut des vers des bouts d'hiver blanches et puis rondes
Il pleut sans cesse que tu me délaisses pour que je saigne
Il pleut si tard y'a que le cafard qui m'accompagne
On ne sait jamais on se dirait qu'on peut changer le temps
On ne sait jamais on s'oublierait pour se retrouver moins perdants
Il pleut des muses des bouts de ruses pour que tu reviennes
Il pleut des larmes sur les carreaux de mon foulard
Il pleut jamais quand je voudrais que tout s'efface
Il pleut si chaud que j'ai dans le dos le froid qui glace
On ne sait jamais on se dirait qu'on peut changer le temps
On ne sait jamais on s'oublierait pour se retrouver moins perdants
Pour se retrouver moins perdants
On ne sait jamais on se dirait qu'on peut changer le temps
On ne sait jamais on oublierait pour se retrouver moins perdants
Il pleut d'amour des renaissances des éphémères
Il pleut si fort dans le décor de mon enfer
Il pleut des cordes de l'impatience il pleut des cordes
Faut que j'avance il pleut des cordes mon impatience
De l'inconscience il pleut des cordes
On ne sait jamais on se dirait qu'on peut changer le temps
On ne sait jamais on s'oublierait pour se retrouver moins perdants
Il pleut des cordes il pleut des cordes
Faut que j'abandonne il pleut des cordes
GIL
Gil, Gil
Gil, tu me prends la tête
Avec tes cigarettes
Tu ne vois pas que le monde change
Alors faut que t'arrêtes
Gil t'as les yeux qui tombent
Qui se trompent de planète
Y'a pas que l'argent qui compte
Je sais ce que tu regrettes
Découpe-toi un bout de ciel
Combats les idées sombres qui trottent dans ta tête
Le monde est un vieux monde qui se plaint depuis des siècles
Gil, fais ce qui t'arrange
C'est ce que font les mortels
Mais avant que tu plonges
Découpe toi un bout de ciel
Gil, Gil
Gil, tu me prends la tête
Tes questions n'ont pas de sens
L'individu, les êtres
Se rangent dans le morose
Gil faut que tu te rhabilles
Évacue tes reliques
Dehors y'a comme que des roses
On les aime parce qu'elles piquent
Découpe-toi un bout de ciel (x4)
Combats les idées sombres
Qui trottent dans ta tête
Le monde est un vieux monde
Qui se plaint depuis des siècles
Gil, fais ce qui t'arrange
C'est ce que font les mortels
Mais avant que tu sombres
Découpe toi un bout de ciel
Combats les idées sombres qui trottent dans ta tête
Le monde est un vieux monde qui se plaint depuis des siècles
Gil, fais ce qui t'arrange
C'est ce que font les mortels
Mais avant que tu plonges
Découpe toi un bout de ciel
JEANNE MAS
OBSTINATION D'UN RARE
Le cœur sur la balance l'un de nous doit céder
On a brûlé les chances qui disaient nous sauver
Le retour des urgences un couloir trop fermé
isolés du silence que l'on vient d’inonder
Le cœur sur l'oreiller j'ai voulu faire à part
Imaginer et fuir détourner notre histoire
En voulant éviter l'obstination d'un rare
Piétiner des regrets qui restent sans regard
J'ai presque envie de rire de rire à en pleurer
j'ai presque envie de dire qu'on vient de se rater
j'ai presque envie de rire ça vaut mieux que de rêver
en pensant que le pire serait de t'oublier
Serait de t'oublier.
Le cœur sur la balance c'est facile d'hésiter
On a brûlé les chances qui disaient nous sauver
Le retour des urgences un couloir trop fermé
isolés du silence que l'on vient d’inonder
J'ai presque envie de rire de rire à en pleurer
j'ai presque envie de dire qu'on vient de se rater
j'ai presque envie de rire ça vaut mieux que de rêver
en pensant que le pire serait de t'oublier
J'ai presque envie de rire de rire à en pleurer
j'ai presque envie de dire qu'on vient de se rater
j'ai presque envie de rire ça vaut mieux que de rêver
en pensant que le pire serait de t'oublier
Serait de t'oublier.
En pensant que le pire
Serait de t'oublier
JEANNE MAS
LIFE & LOVE
Oh my life oh my love
À 17 ans je voulais refaire le monde
Un monde à l'envers
Croiser le temps parfumer les secondes
Et fumer du Prévert
À 17 ans je connaissais les limites
L'antidote d'équerre
La théorie de la pensée unique
Perdue dans un plastique
Oh my life oh my love
Oh my life oh my love
À 17 ans je rêvais de l'Amérique
D'un cactus d'un désert
D'avoir le sens et l'humour artistique
Un peu comme Julien Clerc
À 17 ans j'étais pas féministe
Il m'a dit fais pas ça
Tourne pas le dos à l'idéal scénique
Un jour tu comprendras
Oh my life oh my love
Oh my life oh my love
Oh my life oh my love
Oh my life oh my love
À 17 ans...
À 17 ans...
Oh my life
Oh my love
JEANNE MAS