Album Bleu Citron
PETITS PAS
Avec l’intention assassine, je reviens vers toi
Une plaisance que je décline,
Un parfait sans toi
Au rebours de mon existence,
De tout un sujet,
Je déplore cette résistance, à celle que j’étais.
Quand la lumière se désintense
Le dos nu sur un fil qui dance
Petits Pas Petits Pas - Je reviens vers toi
Petits Pas, Petits Pas - Je ne veux que toi.
Je m’incline dans la renaissance d’un amour qui fuit
Dans l’attente d’une accordance, mes bras se déplient
Il n’y a que des vents qui passent
Et sur leur chemin
Un désert de sable et de glace
Qu’on dit le destin
Quand la lumière se désintense
Le dos nu sur un fil qui dance
Petits Pas Petits Pas - Je reviens vers toi
Petits Pas, Petits Pas - Je ne veux que toi.
Un souvent n’est pas l’habitude
Peut-être et tant mieux
Je retrousse mes amertumes
Te voilà mon Dieu
Si le chagrin de chaque histoire
Ne veut plus rien dire
Le mirage des amants noirs,
Vole dans nos soupirs
Que fais tu Émile?
Émile reviens moi
Ne fais plus la tête Émile,
Émile compte mes pas.
LES DIMANCHES
Allô la terre je vole plus très haut
Le carburant me fait défaut.
Allô Ms Lune, mon principal
Vient d’annuler toutes mes syllabes,
J’ai beau râler, y’a que l’écho
Du plan zéro.
Y’A PAS DE MAL A SE DONNER DES DIMANCHES
POUR QU’ON SE RENCONTRE ET PUIS QU’ON DANSE
Allô, le régime aux pommes acides
Tu me fais mourir. c’est pas logique.
Allô l’histoire des petits efforts
Mais j’en ai marre que tu me donnes tort
Je trouve pas ça drôle
Horror Horror
Y’A PAS DE MAL A SE DONNER DES DIMANCHES
POUR QU’ON SE RENCONTRE ET PUIS QU’ON DANSE
Y’A PAS DE MAL Å SE DONNER DES RV
DES PETITS CALINS, TOUCHES, MOUILLES
POUR QUE LA VIE NE SOIT PLUS QU’UNE FETE
AVEC UN MAL DE TETE.
Allô les désirs en pétales
Bonbons pas sucrés, c’est pas normal
J’ai pas le souvenir des habitudes
La vie se veut en altitude
Reviens ce soir faudrait qu’on parle
Du quoi déjà?
RESTE
Si tu m’aimais, un peu plus fort,
Nos mains serrées jusqu’à l’aurore
Si tu m'aimais comme un vieux roi
Fiévreux du temps, que je te dois.
Si tu m’aimais, tout en couleurs
Avec tes yeux pour unique frayeur
Si tu m’aimais sans un pourtant
Avant que tout ne s’efface en sortant.
Reste une seconde, rien qu’un instant
Dis moi que je compte malgré le temps
Je reste en silence, je t’en conjure,
Rien ni personne ne prévoit cette usure.
Si tu m’aimais, juste comme avant
Lorsque ce corps était plus élégant,
Si tu m’aimais dans cette dérive
Comme un naufrage, ce nous deux qui chavire
Reste une seconde, rien qu’un instant
Dis moi que je compte malgré le temps
Je reste en silence, je t’en conjure,
Rien ni personne ne prévoit cette usure.
MOINS MAGIQUE
Dis moi combien tu me détestes
Avec des mots, avec des gestes
Quelle lassitude de tes excès
Tes opinions sont un succès
Apprivoisez moi l’arrogance
C’est pas de l’amour
Dont je te parle,
C’est pas du “our” mais bien du Hard
Le moins magique est redoutable
( bis )
Dis moi combien de résistance
As tu planché sans excellence
Avec le temps y’a que les restes
D’une illusion qui manifeste
Les petits riens d’un formidable
C’est pas de l’amour
Dont je te parle,
C’est pas du “our” mais bien du Hard
Le moins magique est redoutable.
QUE FAIRE
Un mardi dans une semaine
Le cœur navré comme un vœux
Sans la moindre ritournelle
Je lui ferai mes adieux
Si toute fin vaut sa peine
Étrangère à ses aveux
Je m’inventerai mondaine
Sur la route de ses yeux.
Mais que dire - Que faire
Que faire que dire
J’ai la tête à l’envers.
Il s’agit d’un crépuscule
Modéré de compassion
Comme un saut en altitude
L’élastique au bon niveau
Etre sage sans être Reine
A quoi bon tout ce détour
Dans cette ambition nouvelle
Je te déduis mon amour
Si la tristesse remplace, le pouvoir des passions
Cet ultime face à face de nous aura raison
Rien ne peut plus hélas, du compteur à zéro,
Si tu renvoies la menace d’un trop tôt
Mais que dire - Que faire
Que faire que dire
J’ai la tête à l’envers.
Un mardi dans une semaine
Ce sera le printemps
L’éclosion de cette peine
S’envolera avec le vent
Je ne veux plus des fleurs qu’on fâne
Ni d’un éclair qu’on dirige
Cette pâleur que l’on blâme
N’est pas celle que l’on exige.
VA BIEN
Ce sont des petites choses
Qu’on baigne à l’eau de rose
Ce sont des petits rien - Rien
Tout va très bien
Je viens de rencontrer Patrick
Il est tout électrique
Il court après son chien - C’est rien
Tout va très bien
Je viens de croiser Yvette
Accroc aux pâquerettes
L’allergie du matin - Oh rien,
Tout va très bien.
Mais bon ce nucléaire,
Parait que c’est du cancer
La télé dit que c’est rien - Rien
Que tout va très bien.
Je viens d’enterrer Boris,
Overdose de cerises
Sa femme rit de chagrin - Oh c’est rien
Tout va très bien.
Je repense au nucléaire
Parait qu’on exagère
Qu’on sera tous morts demain - C’est rien
Tout va très bien.
Ce sont des petites choses
Qu’on baigne à l’eau de rose
Ce sont des petits rien - Rien
Tout va très bien
OK, faut bien qu’on vive,
Y’a pas d’alternative
Le chien de Patrick vient
De passer sous un train - Oh mais
Tout va très bien.
MA PHOTO DANS LES GARES
Je viens de voler une pomme
C’est pas qu’elle était belle, quelle était bonne
Je viens de voler une pomme
Pour être sûr que je peux tout voler
Je viens de soulager un homme
Depuis le temps qu’il tenait sa corde
Je viens de soulager un homme
Du tabouret dessous ses pieds
Je vois ma photo dans toutes les gares - Je suis devenu une star ( Bis )
Je viens de tirer sur ma voisine
Celle qui me prend pour un imbécile
Je viens de tirer sur ma voisine
Faut qu’elle apprenne à écouter
Les barreaux de mon immeuble
Donnent sur une cour goudron séché
Les barreaux de mon immeuble,
J’ai décidé de les scier.
Je vois ma photo dans toutes les gares - Je suis devenu une star ( Bis )
Ma mère me disait, y’a pas de honte à se révolter de ce vieux monde.
De ces rêves en papier de verre qui te renverront dans ta misère.
Ma mère me disait, c’est le nombre qui compte, le taux d’accès à la seconde, le gros débit du gaspillage et les mensonges à chaque page.
Je vois ma photo dans toutes les gares.
Je suis devenu une star ( Bis )
Ma mère me disait, fais ce que tu ressens, t’as sûrement d’un roi dans le sang, mais pas de celui qu’on guillotine pour passer le dimanche en famille.
Ma mère me disait, ne soit pas une brique, juste une photo là sur un site, cette transparence que l’on regarde en période pré-électorale.
L’AIGLE BLANC
Avec un soleil sur le front
Un désert en guise d’horizon
Une paire de bleu-jeans qu’on respecte
L’apparence est nette
Le regard plein de ses ambitions
Décidé - jamais d’un patron -
La chance réduite au profit net
C’est tout ce qu’il souhaite
Je veux vivre, de mes illusions
Mais encore vivre
Comme un aigle blanc
Laissez moi vivre
Sans le raisonnement
Qu’il faut qu’on vive,
Dans l'absolument
Les mains tendues dans un ruisseau
La fraîcheur recouvrant sa peau
Il affiche enfin le sourire
D’un homme qui respire.
MON PROBLÈME
Sans le vouloir on reprend,
Les désirs inconscients
Derrière le grand voile
C’est un café trop brûlant
Qui décline l’évidence
Qui fait les cent pas.
Je te regarde et je me vois
Ce qui m’agace, ce n’est pas toi.
J’avance encore, à contre toi,
C’est plus la peine,
Tu le sais déjà.
J’ai un problème, en fait je n’aime que toi
Fallait que j’apprenne, à reconnaître ça.
Un SOS qui s’étend,
Sur un vif océan
Celui de mes larmes
C’est le revers des amants
Qui n’écoutent pas vraiment
Le son des hélas
Je te regarde et je me vois
Ce qui m’agace, ce n’est pas toi.
J’avance encore, à contre toi,
C’est plus la peine,
Tu le sais déjà.
J’ai un problème, en fait je n’aime que toi
Fallait que j’apprenne, à reconnaître ça.
LE RETOUR
Si tu lui reviens un jour,
Accoudée à sa fenêtre,
La fenêtre d’un amour,
D’un amour que tu regrettes
Si tu lui reviens un jour,
Elle qui t’attendait, peut-être
Le peut-être d’un toujours
Évaporé dans ses lettres
Si tu lui reviens un jour
Les mots remplis de silence
Par un sommeil bien trop court
Qui se mêle d’abondance
Si tu lui reviens un jour,
Cette ronde vagabonde
Perdue dans ses yeux trop lourds
Trop de larmes rendent aveugle
Si tu lui reviens un jour
N’oublie pas qu’elle était blonde
Et que sa peau de velours
S’est fanée par ton absence
Si tu lui reviens un jour
N’attend pas que ses mains tombent
Te caressent du retour,
De ton retour sur sa tombe.
PETITS PAS
Avec l’intention assassine, je reviens vers toi
Une plaisance que je décline,
Un parfait sans toi
Au rebours de mon existence,
De tout un sujet,
Je déplore cette résistance, à celle que j’étais.
Quand la lumière se désintense
Le dos nu sur un fil qui dance
Petits Pas Petits Pas - Je reviens vers toi
Petits Pas, Petits Pas - Je ne veux que toi.
Je m’incline dans la renaissance d’un amour qui fuit
Dans l’attente d’une accordance, mes bras se déplient
Il n’y a que des vents qui passent
Et sur leur chemin
Un désert de sable et de glace
Qu’on dit le destin
Quand la lumière se désintense
Le dos nu sur un fil qui dance
Petits Pas Petits Pas - Je reviens vers toi
Petits Pas, Petits Pas - Je ne veux que toi.
Un souvent n’est pas l’habitude
Peut-être et tant mieux
Je retrousse mes amertumes
Te voilà mon Dieu
Si le chagrin de chaque histoire
Ne veut plus rien dire
Le mirage des amants noirs,
Vole dans nos soupirs
Que fais tu Émile?
Émile reviens moi
Ne fais plus la tête Émile,
Émile compte mes pas.
LES DIMANCHES
Allô la terre je vole plus très haut
Le carburant me fait défaut.
Allô Ms Lune, mon principal
Vient d’annuler toutes mes syllabes,
J’ai beau râler, y’a que l’écho
Du plan zéro.
Y’A PAS DE MAL A SE DONNER DES DIMANCHES
POUR QU’ON SE RENCONTRE ET PUIS QU’ON DANSE
Allô, le régime aux pommes acides
Tu me fais mourir. c’est pas logique.
Allô l’histoire des petits efforts
Mais j’en ai marre que tu me donnes tort
Je trouve pas ça drôle
Horror Horror
Y’A PAS DE MAL A SE DONNER DES DIMANCHES
POUR QU’ON SE RENCONTRE ET PUIS QU’ON DANSE
Y’A PAS DE MAL Å SE DONNER DES RV
DES PETITS CALINS, TOUCHES, MOUILLES
POUR QUE LA VIE NE SOIT PLUS QU’UNE FETE
AVEC UN MAL DE TETE.
Allô les désirs en pétales
Bonbons pas sucrés, c’est pas normal
J’ai pas le souvenir des habitudes
La vie se veut en altitude
Reviens ce soir faudrait qu’on parle
Du quoi déjà?
RESTE
Si tu m’aimais, un peu plus fort,
Nos mains serrées jusqu’à l’aurore
Si tu m'aimais comme un vieux roi
Fiévreux du temps, que je te dois.
Si tu m’aimais, tout en couleurs
Avec tes yeux pour unique frayeur
Si tu m’aimais sans un pourtant
Avant que tout ne s’efface en sortant.
Reste une seconde, rien qu’un instant
Dis moi que je compte malgré le temps
Je reste en silence, je t’en conjure,
Rien ni personne ne prévoit cette usure.
Si tu m’aimais, juste comme avant
Lorsque ce corps était plus élégant,
Si tu m’aimais dans cette dérive
Comme un naufrage, ce nous deux qui chavire
Reste une seconde, rien qu’un instant
Dis moi que je compte malgré le temps
Je reste en silence, je t’en conjure,
Rien ni personne ne prévoit cette usure.
MOINS MAGIQUE
Dis moi combien tu me détestes
Avec des mots, avec des gestes
Quelle lassitude de tes excès
Tes opinions sont un succès
Apprivoisez moi l’arrogance
C’est pas de l’amour
Dont je te parle,
C’est pas du “our” mais bien du Hard
Le moins magique est redoutable
( bis )
Dis moi combien de résistance
As tu planché sans excellence
Avec le temps y’a que les restes
D’une illusion qui manifeste
Les petits riens d’un formidable
C’est pas de l’amour
Dont je te parle,
C’est pas du “our” mais bien du Hard
Le moins magique est redoutable.
QUE FAIRE
Un mardi dans une semaine
Le cœur navré comme un vœux
Sans la moindre ritournelle
Je lui ferai mes adieux
Si toute fin vaut sa peine
Étrangère à ses aveux
Je m’inventerai mondaine
Sur la route de ses yeux.
Mais que dire - Que faire
Que faire que dire
J’ai la tête à l’envers.
Il s’agit d’un crépuscule
Modéré de compassion
Comme un saut en altitude
L’élastique au bon niveau
Etre sage sans être Reine
A quoi bon tout ce détour
Dans cette ambition nouvelle
Je te déduis mon amour
Si la tristesse remplace, le pouvoir des passions
Cet ultime face à face de nous aura raison
Rien ne peut plus hélas, du compteur à zéro,
Si tu renvoies la menace d’un trop tôt
Mais que dire - Que faire
Que faire que dire
J’ai la tête à l’envers.
Un mardi dans une semaine
Ce sera le printemps
L’éclosion de cette peine
S’envolera avec le vent
Je ne veux plus des fleurs qu’on fâne
Ni d’un éclair qu’on dirige
Cette pâleur que l’on blâme
N’est pas celle que l’on exige.
VA BIEN
Ce sont des petites choses
Qu’on baigne à l’eau de rose
Ce sont des petits rien - Rien
Tout va très bien
Je viens de rencontrer Patrick
Il est tout électrique
Il court après son chien - C’est rien
Tout va très bien
Je viens de croiser Yvette
Accroc aux pâquerettes
L’allergie du matin - Oh rien,
Tout va très bien.
Mais bon ce nucléaire,
Parait que c’est du cancer
La télé dit que c’est rien - Rien
Que tout va très bien.
Je viens d’enterrer Boris,
Overdose de cerises
Sa femme rit de chagrin - Oh c’est rien
Tout va très bien.
Je repense au nucléaire
Parait qu’on exagère
Qu’on sera tous morts demain - C’est rien
Tout va très bien.
Ce sont des petites choses
Qu’on baigne à l’eau de rose
Ce sont des petits rien - Rien
Tout va très bien
OK, faut bien qu’on vive,
Y’a pas d’alternative
Le chien de Patrick vient
De passer sous un train - Oh mais
Tout va très bien.
MA PHOTO DANS LES GARES
Je viens de voler une pomme
C’est pas qu’elle était belle, quelle était bonne
Je viens de voler une pomme
Pour être sûr que je peux tout voler
Je viens de soulager un homme
Depuis le temps qu’il tenait sa corde
Je viens de soulager un homme
Du tabouret dessous ses pieds
Je vois ma photo dans toutes les gares - Je suis devenu une star ( Bis )
Je viens de tirer sur ma voisine
Celle qui me prend pour un imbécile
Je viens de tirer sur ma voisine
Faut qu’elle apprenne à écouter
Les barreaux de mon immeuble
Donnent sur une cour goudron séché
Les barreaux de mon immeuble,
J’ai décidé de les scier.
Je vois ma photo dans toutes les gares - Je suis devenu une star ( Bis )
Ma mère me disait, y’a pas de honte à se révolter de ce vieux monde.
De ces rêves en papier de verre qui te renverront dans ta misère.
Ma mère me disait, c’est le nombre qui compte, le taux d’accès à la seconde, le gros débit du gaspillage et les mensonges à chaque page.
Je vois ma photo dans toutes les gares.
Je suis devenu une star ( Bis )
Ma mère me disait, fais ce que tu ressens, t’as sûrement d’un roi dans le sang, mais pas de celui qu’on guillotine pour passer le dimanche en famille.
Ma mère me disait, ne soit pas une brique, juste une photo là sur un site, cette transparence que l’on regarde en période pré-électorale.
L’AIGLE BLANC
Avec un soleil sur le front
Un désert en guise d’horizon
Une paire de bleu-jeans qu’on respecte
L’apparence est nette
Le regard plein de ses ambitions
Décidé - jamais d’un patron -
La chance réduite au profit net
C’est tout ce qu’il souhaite
Je veux vivre, de mes illusions
Mais encore vivre
Comme un aigle blanc
Laissez moi vivre
Sans le raisonnement
Qu’il faut qu’on vive,
Dans l'absolument
Les mains tendues dans un ruisseau
La fraîcheur recouvrant sa peau
Il affiche enfin le sourire
D’un homme qui respire.
MON PROBLÈME
Sans le vouloir on reprend,
Les désirs inconscients
Derrière le grand voile
C’est un café trop brûlant
Qui décline l’évidence
Qui fait les cent pas.
Je te regarde et je me vois
Ce qui m’agace, ce n’est pas toi.
J’avance encore, à contre toi,
C’est plus la peine,
Tu le sais déjà.
J’ai un problème, en fait je n’aime que toi
Fallait que j’apprenne, à reconnaître ça.
Un SOS qui s’étend,
Sur un vif océan
Celui de mes larmes
C’est le revers des amants
Qui n’écoutent pas vraiment
Le son des hélas
Je te regarde et je me vois
Ce qui m’agace, ce n’est pas toi.
J’avance encore, à contre toi,
C’est plus la peine,
Tu le sais déjà.
J’ai un problème, en fait je n’aime que toi
Fallait que j’apprenne, à reconnaître ça.
LE RETOUR
Si tu lui reviens un jour,
Accoudée à sa fenêtre,
La fenêtre d’un amour,
D’un amour que tu regrettes
Si tu lui reviens un jour,
Elle qui t’attendait, peut-être
Le peut-être d’un toujours
Évaporé dans ses lettres
Si tu lui reviens un jour
Les mots remplis de silence
Par un sommeil bien trop court
Qui se mêle d’abondance
Si tu lui reviens un jour,
Cette ronde vagabonde
Perdue dans ses yeux trop lourds
Trop de larmes rendent aveugle
Si tu lui reviens un jour
N’oublie pas qu’elle était blonde
Et que sa peau de velours
S’est fanée par ton absence
Si tu lui reviens un jour
N’attend pas que ses mains tombent
Te caressent du retour,
De ton retour sur sa tombe.