Album Les crises de l’âme
LES CRISES DE L’ÂME
Touche pas, ça fait trop mal
Provocation fatale
Déboussolées, saoulée
Détonation cruciale
Un peu contaminée
Par des doutes que t'as semés
Déchirée sans juger
Imperfection totale
Souffrir sans décider
Libération d'entaille
Laisse-moi te respirer
Plonger loin de ce passé
Les crises de l'âme
Sont des mots qui vivent à l'imparfait
Des traces de larmes
Qui brûlent sans cesse et ne meurent jamais
C'est un pardon qui ne pardonne pas
Les crises de l'âme
Briser le grand miroir
Rongé par les souvenirs
Détruire tous les pouvoirs
Du grand trou noir
C'est un fleuve qui revit
Un refrain qui me trahit
C'est un pardon qui ne pardonne pas
Un cri d'espoir qui s'étouffe en moi
Touche pas, ça fait trop mal
Provocation fatale
Déboussolées, saoulée
Détonation cruciale
Un peu contaminée
Par des doutes que t'as semés
Déchirée sans juger
Imperfection totale
Souffrir sans décider
Libération d'entaille
Laisse-moi te respirer
Plonger loin de ce passé
Les crises de l'âme
Sont des mots qui vivent à l'imparfait
Des traces de larmes
Qui brûlent sans cesse et ne meurent jamais
C'est un pardon qui ne pardonne pas
Les crises de l'âme
Briser le grand miroir
Rongé par les souvenirs
Détruire tous les pouvoirs
Du grand trou noir
C'est un fleuve qui revit
Un refrain qui me trahit
C'est un pardon qui ne pardonne pas
Un cri d'espoir qui s'étouffe en moi
CAROLYNE
Hors des croisades
C'est pour Carolyne
Que je pose mon arme
Blessé d'espoir
Je roule dans la poussière
Mais je ne pense qu'à tes lèvres
Oh Carolyne, oh Carolyne
Je te crie tout bas au fond de mon désert
Y'a que des chimères
Des fantômes sans rage
Dispersés dans l'enfer
Ma vie se rebelle
Un combat sans gloire
Nourrit cette fausse guerre
Oh Carolyne, oh Carolyne
Où sont tes sanglots et ton corps qui s'enflamme ?
Oh Carolyne, oh Carolyne
Ton nom me soulage
Je flotte sous le drapeau des idéaux
Dans ce rodéo je compte pour zéro
Je suis dans un tableau taché de sable
De solitude, tellement minable
Je compte les semaines
D'un devoir sans choix
Qui veut me brûler les veines
Toutes ces frontières
Qui me séparent de toi
Laissent éclater ma fièvre
Oh Carolyne, oh Carolyne
J'ai le cœur qui se noie
Quand tu écris que tu m'aimes
Oh Carolyne, oh Carolyne
Je rêve que tu m'emmènes
Je ne suis qu'un homme
Qui ne cherche pas de médaille
Elles apprennent à tuer
Je veux mourir
Pour mon unique bataille
Pour ma liberté
Hors des croisades
C'est pour Carolyne
Que je pose mon arme
Blessé d'espoir
Je roule dans la poussière
Mais je ne pense qu'à tes lèvres
Oh Carolyne, oh Carolyne
Je te crie tout bas au fond de mon désert
Y'a que des chimères
Des fantômes sans rage
Dispersés dans l'enfer
Ma vie se rebelle
Un combat sans gloire
Nourrit cette fausse guerre
Oh Carolyne, oh Carolyne
Où sont tes sanglots et ton corps qui s'enflamme ?
Oh Carolyne, oh Carolyne
Ton nom me soulage
Je flotte sous le drapeau des idéaux
Dans ce rodéo je compte pour zéro
Je suis dans un tableau taché de sable
De solitude, tellement minable
Je compte les semaines
D'un devoir sans choix
Qui veut me brûler les veines
Toutes ces frontières
Qui me séparent de toi
Laissent éclater ma fièvre
Oh Carolyne, oh Carolyne
J'ai le cœur qui se noie
Quand tu écris que tu m'aimes
Oh Carolyne, oh Carolyne
Je rêve que tu m'emmènes
Je ne suis qu'un homme
Qui ne cherche pas de médaille
Elles apprennent à tuer
Je veux mourir
Pour mon unique bataille
Pour ma liberté
TANGO
L'arène sous la poussière renaît
Entraîne le cœur des meurtriers
Frissonnent les couleurs du désir
Bourdonne cette foule en délire
La fièvre ruisselle sous des yeux noirs
Dentelle les mains du grand pouvoir
La terre se tache de safran
Et l'homme dresser un drapeau de sang
Tango, un rythme chaud
Il faut achever le taureau
Qu'il soit trop tard ou trop tôt
Tango, chacun son sort
Saignez à blanc le hasard
La bête ignore la victoire
Tango du matador
Tango, l'épée de la mort
L'arène essoufflée par la danse
Soulève El Cordobès en transes
Vainqueur d'un duel gagné d'avance
L'honneur a mesuré ses chances
Tango, toréador
Tango, qui est le plus fort
L'arène sous la poussière renaît
Entraîne le cœur des meurtriers
Frissonnent les couleurs du désir
Bourdonne cette foule en délire
La fièvre ruisselle sous des yeux noirs
Dentelle les mains du grand pouvoir
La terre se tache de safran
Et l'homme dresser un drapeau de sang
Tango, un rythme chaud
Il faut achever le taureau
Qu'il soit trop tard ou trop tôt
Tango, chacun son sort
Saignez à blanc le hasard
La bête ignore la victoire
Tango du matador
Tango, l'épée de la mort
L'arène essoufflée par la danse
Soulève El Cordobès en transes
Vainqueur d'un duel gagné d'avance
L'honneur a mesuré ses chances
Tango, toréador
Tango, qui est le plus fort
Y 'A DES BONS …
Y'en a qui prient tout bas
Qui n'ont connu que des guerres, des soldats
Y'a plus que des ruines, des flammes,
Et des enfants qu'on dresse avec des armes.
Y'a tous ces noirs qu'on bat
Qui meurent sans liberté, sans droit ni loi
C'est le pouvoir des "rois"
Qui ferme les portes à Winni Mandela
Y'a ces arènes du mal
Qui chantent les traces d'une douleur qui s'acharne
Sur des rizières de larmes
Le corps d'un homme qui fuyait le brouillard
Et y'a tous ceux qui aimes
Qui voudraient que ça cesse
Y'a des bons mais y'a toujours des cons
Pour soulever des frontières et des ponts
Y'a des bons mais y'a toujours des cons
Pour violer des terres, des passions.
Y'a des bons mais y'a tous ces fanas du shoot
Y'a tous ces mômes qui ont faim
Qu'on sacrifie aux luttes sans lendemain
Le désespoir des femmes
Des soldats rouges qui ont aussi peu d'âme
Ces religions sans fin
Ont fait de tous leurs hommes des assassins
Y'en à qui crient "pourquoi ?"
A tant de haine, à tant de désarroi
Y'en a qui se perdent aussi
Pour sauver d'autres vies.
Y'en a qui prient tout bas
Qui n'ont connu que des guerres, des soldats
Y'a plus que des ruines, des flammes,
Et des enfants qu'on dresse avec des armes.
Y'a tous ces noirs qu'on bat
Qui meurent sans liberté, sans droit ni loi
C'est le pouvoir des "rois"
Qui ferme les portes à Winni Mandela
Y'a ces arènes du mal
Qui chantent les traces d'une douleur qui s'acharne
Sur des rizières de larmes
Le corps d'un homme qui fuyait le brouillard
Et y'a tous ceux qui aimes
Qui voudraient que ça cesse
Y'a des bons mais y'a toujours des cons
Pour soulever des frontières et des ponts
Y'a des bons mais y'a toujours des cons
Pour violer des terres, des passions.
Y'a des bons mais y'a tous ces fanas du shoot
Y'a tous ces mômes qui ont faim
Qu'on sacrifie aux luttes sans lendemain
Le désespoir des femmes
Des soldats rouges qui ont aussi peu d'âme
Ces religions sans fin
Ont fait de tous leurs hommes des assassins
Y'en à qui crient "pourquoi ?"
A tant de haine, à tant de désarroi
Y'en a qui se perdent aussi
Pour sauver d'autres vies.
BÉBÉ ROCK
Comme un volcan saoulé de fièvre
Défile ses nuits veut que ça se dérègle
C'est une éruption sereine
Un vent que rien ne freine
Comme un volcan d'Amour s'enflamme
A l'infini retient les vagues
Et son corps mouillée de lave
Enlace une longue histoire
Je te donnerai mon sang, mon innocence
Et le creux de mes hanches
Deviens mon inconscient
Mon doux tourment
Ma loi, ma délivrance
Oh, quand le ciel est si pur
Je rêve d'un bébé rock
De mon bébé rock
Qui s'étire dans le flot des eaux
Qui s'endort aussitôt
De mon bébé rock
Je rêve d'un bébé rock
Blotti dans un nid sous ma peau
II y fait tellement chaud
C'est une femme qui se bat
La vie entre ses bras
Comme un volcan brise ses chaînes
Veut libérer toutes ses veines
Dans la douleur, dans l'ivresse
Éblouies de tendresse
Je défendrai ton nom, des océans
J'oublierai le silence
Deviens mon seul roman
Le firmament
Qui détruit mon enfance
Comme un volcan saoulé de fièvre
Défile ses nuits veut que ça se dérègle
C'est une éruption sereine
Un vent que rien ne freine
Comme un volcan d'Amour s'enflamme
A l'infini retient les vagues
Et son corps mouillée de lave
Enlace une longue histoire
Je te donnerai mon sang, mon innocence
Et le creux de mes hanches
Deviens mon inconscient
Mon doux tourment
Ma loi, ma délivrance
Oh, quand le ciel est si pur
Je rêve d'un bébé rock
De mon bébé rock
Qui s'étire dans le flot des eaux
Qui s'endort aussitôt
De mon bébé rock
Je rêve d'un bébé rock
Blotti dans un nid sous ma peau
II y fait tellement chaud
C'est une femme qui se bat
La vie entre ses bras
Comme un volcan brise ses chaînes
Veut libérer toutes ses veines
Dans la douleur, dans l'ivresse
Éblouies de tendresse
Je défendrai ton nom, des océans
J'oublierai le silence
Deviens mon seul roman
Le firmament
Qui détruit mon enfance
CONTRE TOI
J'ai détruit le brouillard
Je ne pointais pas le hasard
Mon petit cœur dormait mal
"Faut qu'il m'aime"
Amour joué volé
Souffrir pour déguster
Nous deux l'éternité
Comme dans les rêves
Ca résonne en moi
Je repeins les dégâts
Loin d'un résultat
Où son mes pédales ?
Contre toi, je contrôle l'émoi
Ca craque, ça balance
Tout vire à l'essence
Contre toi je me fous de moi
Y'a plus de rock & roll
Il à brûlé sans alcool
L'amour déchire ses chance
Souffre d'impertinence
Les mots prennent leur revanche
Tout, s'achève
Ligotée de regrets
Accuser les projets
Y'a mon petit cœur qui tremble
Lui il t'aime
Un brouillon de toi
Se détache de moi
Dans mon désarroi
Faut que je pense à moi
J'ai détruit le brouillard
Je ne pointais pas le hasard
Mon petit cœur dormait mal
"Faut qu'il m'aime"
Amour joué volé
Souffrir pour déguster
Nous deux l'éternité
Comme dans les rêves
Ca résonne en moi
Je repeins les dégâts
Loin d'un résultat
Où son mes pédales ?
Contre toi, je contrôle l'émoi
Ca craque, ça balance
Tout vire à l'essence
Contre toi je me fous de moi
Y'a plus de rock & roll
Il à brûlé sans alcool
L'amour déchire ses chance
Souffre d'impertinence
Les mots prennent leur revanche
Tout, s'achève
Ligotée de regrets
Accuser les projets
Y'a mon petit cœur qui tremble
Lui il t'aime
Un brouillon de toi
Se détache de moi
Dans mon désarroi
Faut que je pense à moi
FLIP TRIP
Flip la pièce se noie
Départ sur la planète
Trip viril et froid
Je roule et ne m'arrête
Flip bumperez-moi
Je serai votre reine
Trip clignotera
Sur l'écran tout en fête
Flip je trouve la voie
Repoussée en arrière
Trip lui contre moi
Un conflit se déchaîne
Frappe la balle en fer, ne cesse de jouer
Saute et je récupère, la retiens sans pitié
Chasse qui m'exaspère, j'accélère de mes doigts
J'aime quand elle desèspère, encore tous les points
Flip sa force me bat
Je fonce sous les tunnels
Trip t'affole donc pas
J'adore qu'on me caresse
Flip les mots se battent tandis que je paresse
Trip névrose ra
J'ai tilté dans l'ivresse
Je vis dans un monde qui me bouscule, qui m'agace
Je ne suis qu'une boule sans ambition qu'on tracasse
Je ne suis qu'un défi, entre les tours on me déplace
J'en ai ma claque de ton cinéma
Flip la pièce renoie
Encore sur la planète
Trip ce dingue et moi
Un duel que je regrette
Flip souffert de joie
J'en ai mal à la tête
Trip super et moi
J'envoie un SOS
Flip compte pas sur moi
Fume toi une cigarette
Trip avide de gloire
J'en ai marre de ce stress
Flip la pièce se noie
Départ sur la planète
Trip viril et froid
Je roule et ne m'arrête
Flip bumperez-moi
Je serai votre reine
Trip clignotera
Sur l'écran tout en fête
Flip je trouve la voie
Repoussée en arrière
Trip lui contre moi
Un conflit se déchaîne
Frappe la balle en fer, ne cesse de jouer
Saute et je récupère, la retiens sans pitié
Chasse qui m'exaspère, j'accélère de mes doigts
J'aime quand elle desèspère, encore tous les points
Flip sa force me bat
Je fonce sous les tunnels
Trip t'affole donc pas
J'adore qu'on me caresse
Flip les mots se battent tandis que je paresse
Trip névrose ra
J'ai tilté dans l'ivresse
Je vis dans un monde qui me bouscule, qui m'agace
Je ne suis qu'une boule sans ambition qu'on tracasse
Je ne suis qu'un défi, entre les tours on me déplace
J'en ai ma claque de ton cinéma
Flip la pièce renoie
Encore sur la planète
Trip ce dingue et moi
Un duel que je regrette
Flip souffert de joie
J'en ai mal à la tête
Trip super et moi
J'envoie un SOS
Flip compte pas sur moi
Fume toi une cigarette
Trip avide de gloire
J'en ai marre de ce stress
BULLES
Parlez-moi de ces trucs
Car lui ne m'en parlait pas
Ces frissons qui moussent
Et que je ne connais pas
J'en devienne leur insolence
Entre vos doigts
Ces histoires sont fragiles
Les dévorez-vous sans moi ?
Vos yeux s'illuminent c'est l'expression de l'émoi
Cette sensation fébrile entre vos bras
Je la sens glisser sauvage au creux de moi
Bulles qui se maquillent
Bulles qui se marient
Bulles qui se déchirent à la dérive
Bulles sucrées bonbon
Bulles salées citron
Bulles qui se consolent, pêché mignon
Dessinez-moi ces jeux
Qui sont interdits parfois
J'aime quand ça clignote
Ne vous moquez pas de moi
C'est une explosion magique
Cette passion-là
Un délire énergétique
De vous en moi
Parlez-moi de ces trucs
Car lui ne m'en parlait pas
Ces frissons qui moussent
Et que je ne connais pas
J'en devienne leur insolence
Entre vos doigts
Ces histoires sont fragiles
Les dévorez-vous sans moi ?
Vos yeux s'illuminent c'est l'expression de l'émoi
Cette sensation fébrile entre vos bras
Je la sens glisser sauvage au creux de moi
Bulles qui se maquillent
Bulles qui se marient
Bulles qui se déchirent à la dérive
Bulles sucrées bonbon
Bulles salées citron
Bulles qui se consolent, pêché mignon
Dessinez-moi ces jeux
Qui sont interdits parfois
J'aime quand ça clignote
Ne vous moquez pas de moi
C'est une explosion magique
Cette passion-là
Un délire énergétique
De vous en moi
J'ACCUSE
C'est une puissance invisible
Le choc des mots n'existe pas
Lorsque la force joue la violence et l'égoïsme
Lorsque rien n'est plus fort que ta voix
C'est l'insolence qui prend le rythme
Ma liberté sous leurs doigts
Sur des colonnes on me résume
Elle était seule, ils étaient trois
Pourquoi ces gens qui me harponnent et qui me jugent
Ce pouvoir qui limite mes droits ?
Serre dans les yeux ta solitude
Seule toute la haine est ma loi
J'accuse les rôles du scénario trop faciles
D'humilier des peaux sensibles
J'accuse les tireurs de poison qui s'agitent
Au fond d'un dégoût tragique
Y'a pas d'arme qui venge le mal
Qui s'acharne au creux de mes larmes
Ils ont dépouillé mes blessures
Avec des regards indiscrets
Comme assoiffés par l'émotion qu'elles leur procurent
Comme un jouet qu'on voudrait bien casser
C'est leur violence qui prend la suite
Comment pouvoir pardonner
Cogne cogne bien plus fort
Défends ta déchirure
Cogne cogne bien plus fort
Réponds à leur insulte
C'est une puissance invisible
Le choc des mots n'existe pas
Lorsque la force joue la violence et l'égoïsme
Lorsque rien n'est plus fort que ta voix
C'est l'insolence qui prend le rythme
Ma liberté sous leurs doigts
Sur des colonnes on me résume
Elle était seule, ils étaient trois
Pourquoi ces gens qui me harponnent et qui me jugent
Ce pouvoir qui limite mes droits ?
Serre dans les yeux ta solitude
Seule toute la haine est ma loi
J'accuse les rôles du scénario trop faciles
D'humilier des peaux sensibles
J'accuse les tireurs de poison qui s'agitent
Au fond d'un dégoût tragique
Y'a pas d'arme qui venge le mal
Qui s'acharne au creux de mes larmes
Ils ont dépouillé mes blessures
Avec des regards indiscrets
Comme assoiffés par l'émotion qu'elles leur procurent
Comme un jouet qu'on voudrait bien casser
C'est leur violence qui prend la suite
Comment pouvoir pardonner
Cogne cogne bien plus fort
Défends ta déchirure
Cogne cogne bien plus fort
Réponds à leur insulte
COMME UN HÉROS
C'est un voilier qui part
Et qui jamais ne reviendra
Emporté par les vagues
Une dernière fois il dresse son mât
Y'a plus de rêve
L'horizon est bien trop loin
C'est un guerrier qui pleure
Il est bien seul, il n'est plus roi
Des empires à moteur
Ont dépouillé sa vie, ses lois
Je ne suis plus qu'une flaque
Hors de mon océan
Un vieux qu'on plaque
Qui perd son temps.
Je fais des ronds dans l'eau
J'ai peur, fait pas chaud
Je radote, je m'attarde
Je fais des ronds dans l'eau
Vole comme un manchot
Je ne meurs pas comme un héros
Je fais des ronds dans l'eau
Je ne suis pas fier, plus beau
Un homme sans histoire
Je fais des ronds dans l'eau
Craque comme un radeau
Je ne meurs pas comme un héros
C'est un vieillard songeur
Sous un soleil un peu gâteaux
Qui se moque du bonheur
C'était si bon de vivre à deux
Je ne suis qu'une épave
J'ai la mémoire qui rame
Les vents sont si calmes
A mon âge
C'est un voilier qui part
Et qui jamais ne reviendra
Emporté par les vagues
Une dernière fois il dresse son mât
Y'a plus de rêve
L'horizon est bien trop loin
C'est un guerrier qui pleure
Il est bien seul, il n'est plus roi
Des empires à moteur
Ont dépouillé sa vie, ses lois
Je ne suis plus qu'une flaque
Hors de mon océan
Un vieux qu'on plaque
Qui perd son temps.
Je fais des ronds dans l'eau
J'ai peur, fait pas chaud
Je radote, je m'attarde
Je fais des ronds dans l'eau
Vole comme un manchot
Je ne meurs pas comme un héros
Je fais des ronds dans l'eau
Je ne suis pas fier, plus beau
Un homme sans histoire
Je fais des ronds dans l'eau
Craque comme un radeau
Je ne meurs pas comme un héros
C'est un vieillard songeur
Sous un soleil un peu gâteaux
Qui se moque du bonheur
C'était si bon de vivre à deux
Je ne suis qu'une épave
J'ai la mémoire qui rame
Les vents sont si calmes
A mon âge
DITES-LUI
Oh, dites-lui que je l'aime
Que ma vie sans lui serait l'enfer
Oh, dites-lui que je l'appelle
De toutes mes forces, de toutes mes lèvres
Toutes mes impulsions si soudaines
Cette impertinence solitaire
Qu'il les comprenne
Oh, dites-lui que je l'aime
Que son entêtement me fait de la peine
Oh dites-lui que je regrette
De toutes mes larmes, de toute ma haine
C'est un horizon de faiblesse
Qui dessine des mots de détresse
Lui crie que je l'aime.
Oh, dites-lui que je l'aime
Que ma vie sans lui serait l'enfer
Oh, dites-lui que je l'appelle
De toutes mes forces, de toutes mes lèvres
Toutes mes impulsions si soudaines
Cette impertinence solitaire
Qu'il les comprenne
Oh, dites-lui que je l'aime
Que son entêtement me fait de la peine
Oh dites-lui que je regrette
De toutes mes larmes, de toute ma haine
C'est un horizon de faiblesse
Qui dessine des mots de détresse
Lui crie que je l'aime.
LIBAN
LIBAN
Liban
Tant de sang tant de vie
Liban
Qui peut dire pour qui?
"Yves duteil"
Qui peut dire pourquoi
Tous ces gens qui vivaient en paix
Ont un jour perdu le secret
qui les rassemblait.
Oh !
Liban
Au soleil des vivants
Liban
Meurt tout doucement
"Fabienne tibault"
Sur tous les écrans de la Terre
Comme dans une première
(soldat louis)
On peut voir quand le paradis se change en enfer..
Oh !
Liban
Et c'est révoltant
"Jean-Luc Lahaye"
C'est insupportable
C'est intolérable
Quand on crie sur tous les toits
"Vive la liberté"
"Gilbert Montagné"
C'est trop dérisoire
Comment peut-on croire
A l'humanité ?
Pour rameuter les hommes
Réveiller ceux qui dorment
Nous n'avons plus qu' à te chanter
"François valéry"
Liban
Tant de sang
Tant de vie
Liban
Qui peut dire pour qui
Qui peut dire pourquoi
Tous ces gens qui vivaient en paix
Ont un jour perdu le secret
qui les rassemblait.
"bibie"
Oh ! Woh ! Liban
C'est désespérant
Je te revois
Beyrouth
Au réveil
Ce bonheur qui ressemble
A ton miel
Liban
Au soleil des vivants
Liban
Meurs tout doucement
Sur tous les écrans de la Terre
Comme dans une première
On peut voir quand le paradis se change en enfer..
Oh !
Liban
C'est déshonorant
C'est insupportable
C'est intolérable
Quand on crie sur tous les toits
"dee dee bridgewater"
"Vive la liberté"
"gérard lenorman"
C'est trop dérisoire
Comment peut-on croire
A l'humanité ?
Pour rameuter les hommes
Réveiller ceux qui dorment
"carol arnauld"
Nous n'avons plus qu' à te chanter
Liban
Tant de sang tant de vie
Liban
Qui peut dire pour qui ?
"adamo"
Qui peut dire pourquoi
Tous ces gens qui vivaient en paix
Ont un jour perdu le secret
qui les rassemblait.
Oh !
Liban
C'était le bon temps
Des musulmans
Des juifs
Des chrétiens
"Didier Barbelivien"
Qui cherchent dans les ruines
Leur chemin
Liban
Dans tous les coins du monde
"Herbert Léonard"
Liban
On ferme la ronde
Pour te libérer
De tout ce qui porte la haine
Pour te soulager de tes peines
Enlève tes chaînes
Oh !
Liban
Et tu seras vivant
Liban
"Jeanne Mas"
Éternellement
Liban
Tant de sang tant de vie
Liban
Qui peut dire pour qui?
"Yves duteil"
Qui peut dire pourquoi
Tous ces gens qui vivaient en paix
Ont un jour perdu le secret
qui les rassemblait.
Oh !
Liban
Au soleil des vivants
Liban
Meurt tout doucement
"Fabienne tibault"
Sur tous les écrans de la Terre
Comme dans une première
(soldat louis)
On peut voir quand le paradis se change en enfer..
Oh !
Liban
Et c'est révoltant
"Jean-Luc Lahaye"
C'est insupportable
C'est intolérable
Quand on crie sur tous les toits
"Vive la liberté"
"Gilbert Montagné"
C'est trop dérisoire
Comment peut-on croire
A l'humanité ?
Pour rameuter les hommes
Réveiller ceux qui dorment
Nous n'avons plus qu' à te chanter
"François valéry"
Liban
Tant de sang
Tant de vie
Liban
Qui peut dire pour qui
Qui peut dire pourquoi
Tous ces gens qui vivaient en paix
Ont un jour perdu le secret
qui les rassemblait.
"bibie"
Oh ! Woh ! Liban
C'est désespérant
Je te revois
Beyrouth
Au réveil
Ce bonheur qui ressemble
A ton miel
Liban
Au soleil des vivants
Liban
Meurs tout doucement
Sur tous les écrans de la Terre
Comme dans une première
On peut voir quand le paradis se change en enfer..
Oh !
Liban
C'est déshonorant
C'est insupportable
C'est intolérable
Quand on crie sur tous les toits
"dee dee bridgewater"
"Vive la liberté"
"gérard lenorman"
C'est trop dérisoire
Comment peut-on croire
A l'humanité ?
Pour rameuter les hommes
Réveiller ceux qui dorment
"carol arnauld"
Nous n'avons plus qu' à te chanter
Liban
Tant de sang tant de vie
Liban
Qui peut dire pour qui ?
"adamo"
Qui peut dire pourquoi
Tous ces gens qui vivaient en paix
Ont un jour perdu le secret
qui les rassemblait.
Oh !
Liban
C'était le bon temps
Des musulmans
Des juifs
Des chrétiens
"Didier Barbelivien"
Qui cherchent dans les ruines
Leur chemin
Liban
Dans tous les coins du monde
"Herbert Léonard"
Liban
On ferme la ronde
Pour te libérer
De tout ce qui porte la haine
Pour te soulager de tes peines
Enlève tes chaînes
Oh !
Liban
Et tu seras vivant
Liban
"Jeanne Mas"
Éternellement