J'AVANCE
(Jeanne Mas)
As tu compris ce qui me retarde
Pour tout te dire, je suis peu bavarde
As tu assimilé la farce
De ce ridicule qui te remplace.
As tu rangé dans tes bricoles
Le son de ma voix qui te rend folle
Oubliée dans tes certitudes
As tu croisé mon inquiétude ?
Entre deux terres tu te balances
Sous ces flocons gelés d'avance
Cette importance qui ne te veux plus
Le point central est que...
J'avance, si tu me relances
J'avance
Usée de patience
J'avance, si tu me relances
J'avance
Pour que tout recommence
J'avance
As tu réglé le temps passé
A soutenir tes négligés
Combien de fois jeter l'éponge
Tu voulais tant m'éclabousser
Qui aurait pu flinguer l'artiste
Jugeant la fin de cette éclipse
Que tu repeins juste en surface
Pour n'en montrer qu'une faible trace.
Je recule devant tes distances
Le peu d'ardeur est dans tes manques
Cet impossible de mes nuits blanches
Atteint le point central
J'avance, si tu me relances
J'avance
Usée de patience
J'avance, si tu me relances
J'avance
Pour que tout recommence
J'avance
(Jeanne Mas)
As tu compris ce qui me retarde
Pour tout te dire, je suis peu bavarde
As tu assimilé la farce
De ce ridicule qui te remplace.
As tu rangé dans tes bricoles
Le son de ma voix qui te rend folle
Oubliée dans tes certitudes
As tu croisé mon inquiétude ?
Entre deux terres tu te balances
Sous ces flocons gelés d'avance
Cette importance qui ne te veux plus
Le point central est que...
J'avance, si tu me relances
J'avance
Usée de patience
J'avance, si tu me relances
J'avance
Pour que tout recommence
J'avance
As tu réglé le temps passé
A soutenir tes négligés
Combien de fois jeter l'éponge
Tu voulais tant m'éclabousser
Qui aurait pu flinguer l'artiste
Jugeant la fin de cette éclipse
Que tu repeins juste en surface
Pour n'en montrer qu'une faible trace.
Je recule devant tes distances
Le peu d'ardeur est dans tes manques
Cet impossible de mes nuits blanches
Atteint le point central
J'avance, si tu me relances
J'avance
Usée de patience
J'avance, si tu me relances
J'avance
Pour que tout recommence
J'avance
CRUEL
Illuminé
Pars cette ronde
Entourer du désert des catacombes
c'est pas la peine de tout rejouer
Tellement de rôle à supporter
A tu vraiment donner le mot d'ordre
Derrière se trait qui m'insupporte
Faudrait que je retourne dans le passé
De ce que j'ai du oublier.
Combien de temps à cette fenêtre
Tous ses regrets que tu promène
Au delà de cet irréelle
Injustement impersonnel
Combien de temps dans cette gare
A supporter que tu t’égares
Combien de fois même sait tu
allons nous échouer sans plus
Ces cruels
Impressionnée par l' arrogance
De ce qui reste sur la balance
En te brulant tes propres ailes
Voila que tu me renvoies le problème
Est ce bien la peine de pardonner
Si je ne sais pas part ou tout commencer
Partie remise, en liberté
Je me retrouve à l'imparfait
Combien de temps à cette fenêtre
Tous ses regrets que tu promène
Au delà de cet irréelle, Injustement impersonnel
Combien de temps dans cette gare
A supporter que tu t’égares
Combien de fois, mais le sait tu
Allons échouer sans plus.
Ces cruels
Ces cruels
Ces cruels
Ces cruels
Entre les mots qui disent plus rien
Entre deux vies, entre deux trains
Il n'y a plus qu'un grand soleil
Au détour de cet éternel
Combien de temps à cette fenêtre
Tous ses regrets que tu promène
Au delà de cet irréelle, Injustement impersonnel
Combien de temps dans cette gare
A supporter que tu t’égares
Combien de fois mais le sait tu
Allons échouer sans plus
Combien de temps à cette fenêtre
Tous ses regrets que tu promène
Au delà de cet irréelle, Injustement impersonnel
Ces cruels
Ces cruels
Ces cruels
Ces cruels
Illuminé
Pars cette ronde
Entourer du désert des catacombes
c'est pas la peine de tout rejouer
Tellement de rôle à supporter
A tu vraiment donner le mot d'ordre
Derrière se trait qui m'insupporte
Faudrait que je retourne dans le passé
De ce que j'ai du oublier.
Combien de temps à cette fenêtre
Tous ses regrets que tu promène
Au delà de cet irréelle
Injustement impersonnel
Combien de temps dans cette gare
A supporter que tu t’égares
Combien de fois même sait tu
allons nous échouer sans plus
Ces cruels
Impressionnée par l' arrogance
De ce qui reste sur la balance
En te brulant tes propres ailes
Voila que tu me renvoies le problème
Est ce bien la peine de pardonner
Si je ne sais pas part ou tout commencer
Partie remise, en liberté
Je me retrouve à l'imparfait
Combien de temps à cette fenêtre
Tous ses regrets que tu promène
Au delà de cet irréelle, Injustement impersonnel
Combien de temps dans cette gare
A supporter que tu t’égares
Combien de fois, mais le sait tu
Allons échouer sans plus.
Ces cruels
Ces cruels
Ces cruels
Ces cruels
Entre les mots qui disent plus rien
Entre deux vies, entre deux trains
Il n'y a plus qu'un grand soleil
Au détour de cet éternel
Combien de temps à cette fenêtre
Tous ses regrets que tu promène
Au delà de cet irréelle, Injustement impersonnel
Combien de temps dans cette gare
A supporter que tu t’égares
Combien de fois mais le sait tu
Allons échouer sans plus
Combien de temps à cette fenêtre
Tous ses regrets que tu promène
Au delà de cet irréelle, Injustement impersonnel
Ces cruels
Ces cruels
Ces cruels
Ces cruels
Écris moi
Au delà de cette mémoire qui file à reculons
Tu redessines l'histoire soulagée d'un A quoi Bon ?
Plus loin ces insistances qui ne retrouvent plus le chemin
Enrobées de constance ça ira mieux demain.
Que d'attentes
Mais d'attendre impatiente,
Est ma seule résistance.
Écris moi de tes lèvres,
Écris moi de tes yeux,
Souligne que dans mes rêves
Tu ne seras plus malheureux.
Écris moi de tes lèvres,
Écris moi de tes yeux,
Que demain on sera les mêmes
Les mêmes en beaucoup mieux.
Au delà des principes et de ses sanglots longs
Autour de cette colline je sens que tout n'est pas bon.
Au delà de ces multiples explorations des cieux
Je reviens sur le tire d'une solitude à deux.
Que d'attentes.
Mais d'attendre impatiente,
Est ma seule résistance.
Refrain
La fin de chaque histoire n'a rien d'incandescent
On se perd dans le regard du vide d'un avant
Que d'attentes,
Mais d'attendre impatiente,
Est ma seule résistance,
Refrain
Au delà de cette mémoire qui file à reculons
Tu redessines l'histoire soulagée d'un A quoi Bon ?
Plus loin ces insistances qui ne retrouvent plus le chemin
Enrobées de constance ça ira mieux demain.
Que d'attentes
Mais d'attendre impatiente,
Est ma seule résistance.
Écris moi de tes lèvres,
Écris moi de tes yeux,
Souligne que dans mes rêves
Tu ne seras plus malheureux.
Écris moi de tes lèvres,
Écris moi de tes yeux,
Que demain on sera les mêmes
Les mêmes en beaucoup mieux.
Au delà des principes et de ses sanglots longs
Autour de cette colline je sens que tout n'est pas bon.
Au delà de ces multiples explorations des cieux
Je reviens sur le tire d'une solitude à deux.
Que d'attentes.
Mais d'attendre impatiente,
Est ma seule résistance.
Refrain
La fin de chaque histoire n'a rien d'incandescent
On se perd dans le regard du vide d'un avant
Que d'attentes,
Mais d'attendre impatiente,
Est ma seule résistance,
Refrain
Rebelle
ça fait mille ans déjà
Que tu me regardes
Que t'admires, oui mais quoi ?
Est ce ma barbe ?
ça fait mille ans déjà
Qu'on me répète
Qu'on me fait dire des hélas
Je suis votre altesse
ça fait mille ans et voire même plus
J'ai traversé des vies des bus
J'ai tout le ciel sous mes beaux pieds
Je suis rebelle à toutes les heures
Cesse de m'infliger tes erreurs
Je suis rebelle à toutes les heures
Je suis rebelle à toutes les heures
Pourquoi voudrais tu que je pleure
Je suis rebelle à toutes les heures
Qu'est ce que tu regardes
Qu'est ce que tu regardes
Qu'est ce que tu regardes
ça fait mille ans déjà
Que tu m'agaces
Que tu me pries de pourquoi
Mais qu'est ce qui se passe ?
ça fait mille ans déjà
Quelle rigolade
De les voir tous en bas
Censés de rage
ça fait mille ans et voire même plus
Je ne suis qu'un Dieu
Qu'un Dieu de plus
J'ai tout le ciel sous mes beaux pieds.
Yeah
Je suis rebelle à toutes les heures
ça fait mille ans déjà
Que tu me regardes
Que t'admires, oui mais quoi ?
Est ce ma barbe ?
ça fait mille ans déjà
Qu'on me répète
Qu'on me fait dire des hélas
Je suis votre altesse
ça fait mille ans et voire même plus
J'ai traversé des vies des bus
J'ai tout le ciel sous mes beaux pieds
Je suis rebelle à toutes les heures
Cesse de m'infliger tes erreurs
Je suis rebelle à toutes les heures
Je suis rebelle à toutes les heures
Pourquoi voudrais tu que je pleure
Je suis rebelle à toutes les heures
Qu'est ce que tu regardes
Qu'est ce que tu regardes
Qu'est ce que tu regardes
ça fait mille ans déjà
Que tu m'agaces
Que tu me pries de pourquoi
Mais qu'est ce qui se passe ?
ça fait mille ans déjà
Quelle rigolade
De les voir tous en bas
Censés de rage
ça fait mille ans et voire même plus
Je ne suis qu'un Dieu
Qu'un Dieu de plus
J'ai tout le ciel sous mes beaux pieds.
Yeah
Je suis rebelle à toutes les heures
Annabelle
Le jupon des robes blanches
Dans la frivolité du vent
La chaleur de ses hanches
Étoffées de tulle et d'argent
Pour un amant de plus
L'amour laisse briser ses ailes.
Pour un bonheur rompu
Elle a écorché ses lèvres
Si tu ne m'apprends rien
Au fond de cet univers
La vie rebrousse chemin
Le revers, le revers de ces rêves
Dans les yeux d’Annabelle
Le monde s'est envolé
Dans les yeux d’Annabelle
Le coeur entier s'est brisé
Elle s'est si souvent perdue
La liberté entre deux terres
Une âme fragile et vaincue
Respire dans cet amer
Pour un amant de plus
Sur les trottoirs du silence
Pour un bonheur rompu
Elle a brulé la méfiance
Si tu ne m'apprends rien
Au fond de cet univers
La vie rebrousse chemin
Le revers, le revers de ces rêves
Dans les yeux d’Annabelle
Le monde s'est envolé
Dans les yeux d’Annabelle
Le coeur entier s'est brisé
Pour un amant de plus
Elle a pleuré ses adieux
Pour un bonheur rompu
Elle s'est fondue dans les cieux
Le jupon des robes blanches
Dans la frivolité du vent
La chaleur de ses hanches
Étoffées de tulle et d'argent
Pour un amant de plus
L'amour laisse briser ses ailes.
Pour un bonheur rompu
Elle a écorché ses lèvres
Si tu ne m'apprends rien
Au fond de cet univers
La vie rebrousse chemin
Le revers, le revers de ces rêves
Dans les yeux d’Annabelle
Le monde s'est envolé
Dans les yeux d’Annabelle
Le coeur entier s'est brisé
Elle s'est si souvent perdue
La liberté entre deux terres
Une âme fragile et vaincue
Respire dans cet amer
Pour un amant de plus
Sur les trottoirs du silence
Pour un bonheur rompu
Elle a brulé la méfiance
Si tu ne m'apprends rien
Au fond de cet univers
La vie rebrousse chemin
Le revers, le revers de ces rêves
Dans les yeux d’Annabelle
Le monde s'est envolé
Dans les yeux d’Annabelle
Le coeur entier s'est brisé
Pour un amant de plus
Elle a pleuré ses adieux
Pour un bonheur rompu
Elle s'est fondue dans les cieux
Tout Donné
J'ai balancé tes affaires
Dans le brouillon de ce cimetière
Que tu voulais me céder
En toute simplicité
Cette fois éteint la lumière
Pour que désaltère
La sécheresse de ces années
Que tu viens de renverser
Je sens la force qui monte
Qui cogne, qui cogne et qui gronde
Qui me déchire la farce
Je sens la force qui grince
Qui cogne, qui cogne et qui gronde
Tout donné
Oui je l'ai toujours tout donné,
Et plus rien ne m'est resté.
Qu'as tu fais de cette beauté volée
Tout donné
Oui je t'ai toujours tout donné,
Et plus rien ne m'est resté
Pour tout ce rien, je t'ai tout donné
Remuée entre deux terres
Envisager ton contraire
Plongée dans le vif d'un négatif
Qui pleure ses affirmatifs
Redémarrer c'est moins sur
J'ai verrouillé les serrures
Pour satisfaire mes blessures
J'ai tout repeint de cyanure
J'ai balancé tes affaires
Dans le brouillon de ce cimetière
Que tu voulais me céder
En toute simplicité
Cette fois éteint la lumière
Pour que désaltère
La sécheresse de ces années
Que tu viens de renverser
Je sens la force qui monte
Qui cogne, qui cogne et qui gronde
Qui me déchire la farce
Je sens la force qui grince
Qui cogne, qui cogne et qui gronde
Tout donné
Oui je l'ai toujours tout donné,
Et plus rien ne m'est resté.
Qu'as tu fais de cette beauté volée
Tout donné
Oui je t'ai toujours tout donné,
Et plus rien ne m'est resté
Pour tout ce rien, je t'ai tout donné
Remuée entre deux terres
Envisager ton contraire
Plongée dans le vif d'un négatif
Qui pleure ses affirmatifs
Redémarrer c'est moins sur
J'ai verrouillé les serrures
Pour satisfaire mes blessures
J'ai tout repeint de cyanure
Love
A 17 ans
On voudrait tout jouer à l'envers
On perce le temps,
La vie n'est elle pas éphémère ?
Oh Love, Oh My, Oh Love
J'ai tout défait
Oh Love, Oh My, Oh Love
J'ai tout refait.
Entend crier, je coule dans le noir
Tout habillée d'incertitude rares
Entend crier, je coule dans le noir
De cette courte si courte histoire
A 17 ans
On a le courage de comprendre
Qu'il est souvent
Plus simple de ne rien entreprendre
Oh Love, Oh My, Oh Love
J'ai tout défait
Oh Love, Oh My, Oh Love
J'ai tout refait.
Entend crier, je coule dans le noir
Tout habillée d'incertitude rares
Entend crier, je coule dans le noir
De cette courte si courte histoire
A 17 ans
On voudrait que tout brule en enfer
A 17 ans
On voudrait tout jouer à l'envers
On perce le temps,
La vie n'est elle pas éphémère ?
Oh Love, Oh My, Oh Love
J'ai tout défait
Oh Love, Oh My, Oh Love
J'ai tout refait.
Entend crier, je coule dans le noir
Tout habillée d'incertitude rares
Entend crier, je coule dans le noir
De cette courte si courte histoire
A 17 ans
On a le courage de comprendre
Qu'il est souvent
Plus simple de ne rien entreprendre
Oh Love, Oh My, Oh Love
J'ai tout défait
Oh Love, Oh My, Oh Love
J'ai tout refait.
Entend crier, je coule dans le noir
Tout habillée d'incertitude rares
Entend crier, je coule dans le noir
De cette courte si courte histoire
A 17 ans
On voudrait que tout brule en enfer
L'artiste
Regarde moi je suis l'artiste
Je viens te faire mon numéro
Sur les paillettes de cette piste
On se la joue, on se la joue
Dans les clubs dans les bars
On se la joue, on se la joue
Comme on plante les choux
On se la joue, on se la joue
Le contraire du ringard
On se la joue pour se montrer
Se montrer qu'on a tout.
On se la joue
Regarde moi je suis l'artiste
Celle qui n'est plus que des sillons
Écorchée par tant de cynisme
Attendais tu que je sois KO ?
On se la joue, on se la joue
La série B du soir
On se la joue, on se la joue
Comme on plante les choux
On se la joue, on se la joue
On est fait pour y croire
On se la joue, on se la joue
On se la joue de partout
On se la joue la big star,
Hou la big star
Mais puisqu'on vient de te dire
De te dire qu'on s'en fout
On se la joue la big star
Hou la big star
Mais puisqu'on vient de te dire
De te dire qu'on s'en fout
Regarde moi je suis l'artiste
Celle qui n'a plus le même show,
Si tu ne vois plus que moi sur cette piste
C'est que je suis pas encore KO...
Regarde moi je suis l'artiste
Je viens te faire mon numéro
Sur les paillettes de cette piste
On se la joue, on se la joue
Dans les clubs dans les bars
On se la joue, on se la joue
Comme on plante les choux
On se la joue, on se la joue
Le contraire du ringard
On se la joue pour se montrer
Se montrer qu'on a tout.
On se la joue
Regarde moi je suis l'artiste
Celle qui n'est plus que des sillons
Écorchée par tant de cynisme
Attendais tu que je sois KO ?
On se la joue, on se la joue
La série B du soir
On se la joue, on se la joue
Comme on plante les choux
On se la joue, on se la joue
On est fait pour y croire
On se la joue, on se la joue
On se la joue de partout
On se la joue la big star,
Hou la big star
Mais puisqu'on vient de te dire
De te dire qu'on s'en fout
On se la joue la big star
Hou la big star
Mais puisqu'on vient de te dire
De te dire qu'on s'en fout
Regarde moi je suis l'artiste
Celle qui n'a plus le même show,
Si tu ne vois plus que moi sur cette piste
C'est que je suis pas encore KO...
Le Manque
Retire le confort de ces insistances
Aucune larme ne peut résister d'avance
L'avenir qu'on démêle
Se blottir au sein de la solitude
Cette nouvelle amie aux mille soudure
La faiblesse d'un je t'aime
Dépourvue de toutes mes rennes
Éjectée sans le moindre problème
Annulée dans l'ère de tes habitudes
Écorchée d'indifférences absurdes
De ce moi, qui te cherche
Dans un monde repeint d'un simple regard
A genoux, pliée, les mots sont avares
L'illusion, me transperce.
Meublée d'indulgence qui ne respire que d'un love intense
Je le sens
Le manque est si fort
Je le sens dans mon sang,
Ce sang qui te pleure encore (bis)
Pour ce dieu qui brule, parfois qui me blême
J'attends patiemment, que tu me reviennes
Disparaitre sous tes ailes.
Suspendue d'amour à cette nocturne
Influencée par ces reves que je fume sur cette vague je m'éveille.
Seras tu encore là ?
Pour qu'on reprenne les mêmes pas
Je le sens....
Retire le confort de ces insistances
Aucune larme ne peut résister d'avance
L'avenir qu'on démêle
Se blottir au sein de la solitude
Cette nouvelle amie aux mille soudure
La faiblesse d'un je t'aime
Dépourvue de toutes mes rennes
Éjectée sans le moindre problème
Annulée dans l'ère de tes habitudes
Écorchée d'indifférences absurdes
De ce moi, qui te cherche
Dans un monde repeint d'un simple regard
A genoux, pliée, les mots sont avares
L'illusion, me transperce.
Meublée d'indulgence qui ne respire que d'un love intense
Je le sens
Le manque est si fort
Je le sens dans mon sang,
Ce sang qui te pleure encore (bis)
Pour ce dieu qui brule, parfois qui me blême
J'attends patiemment, que tu me reviennes
Disparaitre sous tes ailes.
Suspendue d'amour à cette nocturne
Influencée par ces reves que je fume sur cette vague je m'éveille.
Seras tu encore là ?
Pour qu'on reprenne les mêmes pas
Je le sens....