Album L'Art des femmes
L'AMOUR DU MAL
Toutes ces laves
Sur des rochers noirs
C'est la terre qui gronde
De désespoir
Toutes ces vagues
Pleurent dans le brouillard
Le crépuscule de toute une vie
Mal toutes ces fleurs ont mal
Elles sombrent dans l'ombre
Irréparable
Volatiles dans leurs cris fragiles
Fuient l'avenir qui se déchire
Inondé de bruit
L'amour du mal flotte dans l'histoire
Pourquoi ces albatros qui se meurent
Héros sans armes, dans nos batailles
Tandis que la mer crache de couleur, de rage
L'amour du mal, j'en veux pas
Joue dans les bals, dans le froid
De nos erreurs
Comme une fièvre, la folie s'interne
Capricieuse et maîtresse de tant de haine
Les poètes, lin de leur planète
Rêvent de pudeur
Douces couleur de nos yeux rieurs
"Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui naguère si beau qu'il est comique et laid !
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait"
LE CONTRECHAMP
Personnelles, ces impressions soudaines
L'essentiel paresse dans un mystère
Si cruelle, la violence de mes rêves
Qui plongent dans le secret
De mes vaines prières
Sur tes lèvres, des mots qui se répètent
Accélère, j'ai peur que tout s'achève
L'apparence souffre de négligence
Jongle d'indifférence
Résonne un doute intense
Le contrechamp des habitudes
C'est un volcan de solitude
Et j'agonise dans ce brouillard
Mon corps s'agite
Je perds l'espoir
Le contrechamp de mon silence
C'est un pantin qui pleure, qui danse
Et je m'accroche à cette pente
L'envie dérape si j'abandonne
L'atmosphère libère ses états d'âme
Persévère dans un bonheur qui s'arme
Solitaire cette euphorie légère
Sensible et rancunière
L'amour est-il sincères ?
ELLE EST MOI
Elle est moi
Un frisson se balance
Elle et moi
Comme un rayon qui danse
Elle me blottit dans ses envies
Elle improvise mes nuits
Une flamme qui brûle mon insouciance
Elle est moi
Dans son impertinence
Elle est moi
Cette force qu'elle invente
Elle pousse ma vie au ralenti
Limite mon infini
La raison plie aux exigences
Du grand pouvoir d'un petit ange
Love is you and me
C'est un océan sourd
Amoureux de l'amour
Elle est moi
Cette passion impatiente
Elle est moi
Définition intense
C'est un vertige qui démaquille
Toutes ces peurs si fragiles
Comme un soleil chasse la tourmente
Des vagues tendresse à double sens
LES BRAS EN CROIX
Y'a pas de vérité
Au fond de toutes nos lois
Y'a pas de vérité
Sans la pitié
Y'a pas d'indulgence
Si tu ne respectes pas
Y'a qu'un lourd silence
Qui brûle ta voix
Oh Kyrie, dis pourquoi
Oh Kyrie, je ne comprends pas
Y'a pas de vérité
Dans nos refrains usés
L'épée de ta colère
Veut s'enfoncer
Y'a que du nucléaire
Qui bouffe ta liberté
Un immense désert
La pauvreté
Oh, Kyrie, dis pourquoi
Oh, Kyrie, je ne comprends pas
Oh, Kyrie, dis pourquoi
Oh, Kyrie, j'ai froid en moi
Le corps cloué par la fois
Les bras en croix
Il se bat
L'homme qui pardonnait tout bas
Les bras en croix
Le cœur brisé d'illusions
Les bras en croix
Il se bat
Quand le bonheur se féconde
Les bras en croix
Y'a pas de vérité
Dans nos plaisirs pollués
Y'a pas de vérité
Sans l'amitié
Pourquoi se vanter
D'une supériorité
Faire semblant d'aimer
Pour mieux tuer
LES RÊVES DE MAUD
Les rêves de Maud
Des secrets boudoir
Les rêves de Maud
Paressent dans l'histoire
Et l'envie de toi
Les souvenirs se battent
Les sentiments
Tous ces poisons charmants
Frêle compassion
Mais si douce contagion
Les rêves de Maud
Débordent de l'image
Les rêves de Maud
Déferlent sur des plages
Des amours hors saison
Jalousie tendresse ou trahison
Les plaintes de son corps
Les sanglots longs
Des valeurs immorales
Soif et passion
Ce besoin d'abandon
Les sanglots longs
D'une femmes marginale
Noble prison
La beauté des liaisons
Les rêves de Maud
Bousculent tant de drames
Les rêves de Maud
S'enfoncent inlassables
Tous ces hommes en flexion
Qui s'enlacent au parfum de ton nom
L'ivresse des "encore"
TOUS LES CRIS, LES S.O.S.
Comme un fou va jeter à la mer
Des bouteilles vides et puis espère
Qu'on pourra lire à travers
S.O.S. écrit avec l'air
Pour te dire que je me sens seul
Je dessine à l'encre vide un désert
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des corps qui m'entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Sans comprendre la détresse
Des mots que j'envoie
Difficile d'appeler au secours
Quand tant de drames nous oppressent
Et les larmes nouées de stress
Etouffent un peu plus les cris d'amour
De ceux qui sont dans la faiblesse
Et dans un dernier espoir
Disparaissent
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des corps qui m'entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Sans comprendre la détresse
Des mots que j'envoie
Tous les cris les S.O.S.
Partent dans les airs
Dans l'eau laissent une trace
Dont les écumes font la beauté
Pris dans leur vaisseau de verre
Les messages luttent
Mais les vagues les ramènent
En pierres d'étoile sur les rochers
Et j'ai ramassé les bouts de verre
J'ai recollé tous les morceaux
Tout était clair comme de l'eau
Contre le passé y a rien à faire
Il faudrait changer les héros
Dans un monde où le plus beau reste à faire
Et je cours...
SHAKESPEARE
les allumés d'Aphrodite
les allumés romantiques
les troubadours
romanciers de secours
vibrent d'amour
exposition glamour
morale oblique
l'âme vocalise, c'est lyrique
les allumés d'Aphrodite
les allumes lunatiques
l’homme à l'action
la noblesse des violons
l'heure des moissons
on cultive ses frissons
anatomique
l'art s'intoxique lorsque
Shakespeare, nous inspire
L'effort dépouillé
Shakespeare Fatalise
Les sens périmés
Roméo pleure
Tant de beauté qui se meurt
Les allumés d'aphrodite
Les allumés du chimique
L'inspiration
Héroïne des passions
L'oiseau fécond
Favorise l'invasion
Béatitude
L'extase s'annule lorsque
L'ALBA
Un onda che si butta via
Guardando l'alba che si giva
Ma guando il vento canta
Il freddo sa il male che mi fai
Tu dove vai ?
E come un canto di follia
Che cresce dentro la mia vita
Un sole caldo che non cambia mai
La voglia che mi dai
Notti senza luna, bianche di tanta nostalgia
Dai tuoi coccki slugge via
Sapore di malinconia
Notti senza luna, ballano per manotonia
Con i tuci sccki vola via
Il brivido della mia ironia
Che mi porta via
Un onda cerca il two respiro
Vorrebbe amarti come un dio
Ma l'alba scappa nel ingénuita
Della mia realta
L'ART DES FEMMES
L'art des femmes
Se cultive dans vos désirs
Leur peau se palme
De miel et d'assurance
Elles provoquent des urgences
L'art des femmes
Se respire quand elles délirent
Déhanchent leur âme
Le réveil en parfum
Bouleverse des matins
Angela, quand elle se promène
L'amour a des projets
Plaqués sous ses bas
Angela, ses yeux se souviennent
Des grands conseils donnés
Par son papa
L'art des femmes
Vous active, pourvoir passif
D'un flou combat
Elles cajolent leur idole
Le destin en raffole
L'art des femmes
Anarchique, souvent pudique
Electrica
L'art des femmes est une fleur
Qui éveille des chaleurs
ALEXANDRE M.
Des enfants carton
Blottis sous des haillons
Sans réticence ni peur
Ils souffrent par erreur
Un silence ardent
Figé dans l'inconscient
Endurcira les cœurs
Armés par tant de pleurs
Là-bas les hommes sont là
Leurs enfants meurent tout bas
Brûlés de néant
Des petits corps sont lents
Piégés par la douleur
Leurs yeux n'ont plus de couleur
La bas, les hommes ont là
Leurs enfants meurent tout bas
Alexandre M.
Dans ce monde que tu ne connais pas
Des vies s'enferment
Dans l'obscure couloir des pourquoi
Alexandre M
C'est si compliqué quelquefois
Violé de peine
L'amour cherche un son dans ta voix
CINDY GIRL
Sur des routes désertes, le moral se désaltère.
Le besoin d'univers, lentement, secoue ses nerfs.
Ambition secrète d'amour, de liberté
Cindy les projette sur des ciels enchantés
Le pouvoir du futur qui résonne sur les murs
La puissance du bonheur, Cindy la porte dans son coeur.
Révolutionnaire, le féminin dentelle.
Qu'importe l'enfer, la fureur se déchaîne.
Oh oh oh oh oh, Cindy s'adore, Cindy remplit son corps.
Oh oh oh oh oh, Cindy s'adore, Cindy vit sans effort
Les pulsions des grands donneurs de l'imagination.
Oh oh oh oh oh, Cindy sent bon.
Sur des routes immortelles, quand le cœur poursuit sa terre
Au-delà des passions, Cindy poursuit l'horizon.
Les rêves sont fragiles, la raison s'analyse.
Ma vie accélère sous attraction lunaire.
Oh oh oh oh oh, Cindy s'adore, Cindy remplit son corps.
Oh oh oh oh oh, Cindy s'adore, Cindy vit sans effort
Les pulsions des grands donneurs de l'imagination.
Oh oh oh oh oh, Cindy sent bon.
Oh oh oh oh oh, Cindy s'adore, Cindy remplit son corps.
Oh oh oh oh oh, Cindy s'adore, Cindy vit sans effort
Les pulsions des grands donneurs de l'imagination.
Oh oh oh oh oh, Cindy sent bon, oh oh oh oh oh, oh oh oh oh oh.
L'AMOUR DU MAL
Toutes ces laves
Sur des rochers noirs
C'est la terre qui gronde
De désespoir
Toutes ces vagues
Pleurent dans le brouillard
Le crépuscule de toute une vie
Mal toutes ces fleurs ont mal
Elles sombrent dans l'ombre
Irréparable
Volatiles dans leurs cris fragiles
Fuient l'avenir qui se déchire
Inondé de bruit
L'amour du mal flotte dans l'histoire
Pourquoi ces albatros qui se meurent
Héros sans armes, dans nos batailles
Tandis que la mer crache de couleur, de rage
L'amour du mal, j'en veux pas
Joue dans les bals, dans le froid
De nos erreurs
Comme une fièvre, la folie s'interne
Capricieuse et maîtresse de tant de haine
Les poètes, lin de leur planète
Rêvent de pudeur
Douces couleur de nos yeux rieurs
"Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !
Lui naguère si beau qu'il est comique et laid !
L'un agace son bec avec un brûle-gueule,
L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait"
LE CONTRECHAMP
Personnelles, ces impressions soudaines
L'essentiel paresse dans un mystère
Si cruelle, la violence de mes rêves
Qui plongent dans le secret
De mes vaines prières
Sur tes lèvres, des mots qui se répètent
Accélère, j'ai peur que tout s'achève
L'apparence souffre de négligence
Jongle d'indifférence
Résonne un doute intense
Le contrechamp des habitudes
C'est un volcan de solitude
Et j'agonise dans ce brouillard
Mon corps s'agite
Je perds l'espoir
Le contrechamp de mon silence
C'est un pantin qui pleure, qui danse
Et je m'accroche à cette pente
L'envie dérape si j'abandonne
L'atmosphère libère ses états d'âme
Persévère dans un bonheur qui s'arme
Solitaire cette euphorie légère
Sensible et rancunière
L'amour est-il sincères ?
ELLE EST MOI
Elle est moi
Un frisson se balance
Elle et moi
Comme un rayon qui danse
Elle me blottit dans ses envies
Elle improvise mes nuits
Une flamme qui brûle mon insouciance
Elle est moi
Dans son impertinence
Elle est moi
Cette force qu'elle invente
Elle pousse ma vie au ralenti
Limite mon infini
La raison plie aux exigences
Du grand pouvoir d'un petit ange
Love is you and me
C'est un océan sourd
Amoureux de l'amour
Elle est moi
Cette passion impatiente
Elle est moi
Définition intense
C'est un vertige qui démaquille
Toutes ces peurs si fragiles
Comme un soleil chasse la tourmente
Des vagues tendresse à double sens
LES BRAS EN CROIX
Y'a pas de vérité
Au fond de toutes nos lois
Y'a pas de vérité
Sans la pitié
Y'a pas d'indulgence
Si tu ne respectes pas
Y'a qu'un lourd silence
Qui brûle ta voix
Oh Kyrie, dis pourquoi
Oh Kyrie, je ne comprends pas
Y'a pas de vérité
Dans nos refrains usés
L'épée de ta colère
Veut s'enfoncer
Y'a que du nucléaire
Qui bouffe ta liberté
Un immense désert
La pauvreté
Oh, Kyrie, dis pourquoi
Oh, Kyrie, je ne comprends pas
Oh, Kyrie, dis pourquoi
Oh, Kyrie, j'ai froid en moi
Le corps cloué par la fois
Les bras en croix
Il se bat
L'homme qui pardonnait tout bas
Les bras en croix
Le cœur brisé d'illusions
Les bras en croix
Il se bat
Quand le bonheur se féconde
Les bras en croix
Y'a pas de vérité
Dans nos plaisirs pollués
Y'a pas de vérité
Sans l'amitié
Pourquoi se vanter
D'une supériorité
Faire semblant d'aimer
Pour mieux tuer
LES RÊVES DE MAUD
Les rêves de Maud
Des secrets boudoir
Les rêves de Maud
Paressent dans l'histoire
Et l'envie de toi
Les souvenirs se battent
Les sentiments
Tous ces poisons charmants
Frêle compassion
Mais si douce contagion
Les rêves de Maud
Débordent de l'image
Les rêves de Maud
Déferlent sur des plages
Des amours hors saison
Jalousie tendresse ou trahison
Les plaintes de son corps
Les sanglots longs
Des valeurs immorales
Soif et passion
Ce besoin d'abandon
Les sanglots longs
D'une femmes marginale
Noble prison
La beauté des liaisons
Les rêves de Maud
Bousculent tant de drames
Les rêves de Maud
S'enfoncent inlassables
Tous ces hommes en flexion
Qui s'enlacent au parfum de ton nom
L'ivresse des "encore"
TOUS LES CRIS, LES S.O.S.
Comme un fou va jeter à la mer
Des bouteilles vides et puis espère
Qu'on pourra lire à travers
S.O.S. écrit avec l'air
Pour te dire que je me sens seul
Je dessine à l'encre vide un désert
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des corps qui m'entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Sans comprendre la détresse
Des mots que j'envoie
Difficile d'appeler au secours
Quand tant de drames nous oppressent
Et les larmes nouées de stress
Etouffent un peu plus les cris d'amour
De ceux qui sont dans la faiblesse
Et dans un dernier espoir
Disparaissent
Et je cours
Je me raccroche à la vie
Je me saoule avec le bruit
Des corps qui m'entourent
Comme des lianes nouées de tresses
Sans comprendre la détresse
Des mots que j'envoie
Tous les cris les S.O.S.
Partent dans les airs
Dans l'eau laissent une trace
Dont les écumes font la beauté
Pris dans leur vaisseau de verre
Les messages luttent
Mais les vagues les ramènent
En pierres d'étoile sur les rochers
Et j'ai ramassé les bouts de verre
J'ai recollé tous les morceaux
Tout était clair comme de l'eau
Contre le passé y a rien à faire
Il faudrait changer les héros
Dans un monde où le plus beau reste à faire
Et je cours...
SHAKESPEARE
les allumés d'Aphrodite
les allumés romantiques
les troubadours
romanciers de secours
vibrent d'amour
exposition glamour
morale oblique
l'âme vocalise, c'est lyrique
les allumés d'Aphrodite
les allumes lunatiques
l’homme à l'action
la noblesse des violons
l'heure des moissons
on cultive ses frissons
anatomique
l'art s'intoxique lorsque
Shakespeare, nous inspire
L'effort dépouillé
Shakespeare Fatalise
Les sens périmés
Roméo pleure
Tant de beauté qui se meurt
Les allumés d'aphrodite
Les allumés du chimique
L'inspiration
Héroïne des passions
L'oiseau fécond
Favorise l'invasion
Béatitude
L'extase s'annule lorsque
L'ALBA
Un onda che si butta via
Guardando l'alba che si giva
Ma guando il vento canta
Il freddo sa il male che mi fai
Tu dove vai ?
E come un canto di follia
Che cresce dentro la mia vita
Un sole caldo che non cambia mai
La voglia che mi dai
Notti senza luna, bianche di tanta nostalgia
Dai tuoi coccki slugge via
Sapore di malinconia
Notti senza luna, ballano per manotonia
Con i tuci sccki vola via
Il brivido della mia ironia
Che mi porta via
Un onda cerca il two respiro
Vorrebbe amarti come un dio
Ma l'alba scappa nel ingénuita
Della mia realta
L'ART DES FEMMES
L'art des femmes
Se cultive dans vos désirs
Leur peau se palme
De miel et d'assurance
Elles provoquent des urgences
L'art des femmes
Se respire quand elles délirent
Déhanchent leur âme
Le réveil en parfum
Bouleverse des matins
Angela, quand elle se promène
L'amour a des projets
Plaqués sous ses bas
Angela, ses yeux se souviennent
Des grands conseils donnés
Par son papa
L'art des femmes
Vous active, pourvoir passif
D'un flou combat
Elles cajolent leur idole
Le destin en raffole
L'art des femmes
Anarchique, souvent pudique
Electrica
L'art des femmes est une fleur
Qui éveille des chaleurs
ALEXANDRE M.
Des enfants carton
Blottis sous des haillons
Sans réticence ni peur
Ils souffrent par erreur
Un silence ardent
Figé dans l'inconscient
Endurcira les cœurs
Armés par tant de pleurs
Là-bas les hommes sont là
Leurs enfants meurent tout bas
Brûlés de néant
Des petits corps sont lents
Piégés par la douleur
Leurs yeux n'ont plus de couleur
La bas, les hommes ont là
Leurs enfants meurent tout bas
Alexandre M.
Dans ce monde que tu ne connais pas
Des vies s'enferment
Dans l'obscure couloir des pourquoi
Alexandre M
C'est si compliqué quelquefois
Violé de peine
L'amour cherche un son dans ta voix
CINDY GIRL
Sur des routes désertes, le moral se désaltère.
Le besoin d'univers, lentement, secoue ses nerfs.
Ambition secrète d'amour, de liberté
Cindy les projette sur des ciels enchantés
Le pouvoir du futur qui résonne sur les murs
La puissance du bonheur, Cindy la porte dans son coeur.
Révolutionnaire, le féminin dentelle.
Qu'importe l'enfer, la fureur se déchaîne.
Oh oh oh oh oh, Cindy s'adore, Cindy remplit son corps.
Oh oh oh oh oh, Cindy s'adore, Cindy vit sans effort
Les pulsions des grands donneurs de l'imagination.
Oh oh oh oh oh, Cindy sent bon.
Sur des routes immortelles, quand le cœur poursuit sa terre
Au-delà des passions, Cindy poursuit l'horizon.
Les rêves sont fragiles, la raison s'analyse.
Ma vie accélère sous attraction lunaire.
Oh oh oh oh oh, Cindy s'adore, Cindy remplit son corps.
Oh oh oh oh oh, Cindy s'adore, Cindy vit sans effort
Les pulsions des grands donneurs de l'imagination.
Oh oh oh oh oh, Cindy sent bon.
Oh oh oh oh oh, Cindy s'adore, Cindy remplit son corps.
Oh oh oh oh oh, Cindy s'adore, Cindy vit sans effort
Les pulsions des grands donneurs de l'imagination.
Oh oh oh oh oh, Cindy sent bon, oh oh oh oh oh, oh oh oh oh oh.